Telle Mère, Telle Fille (08)
Datte: 27/08/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byAssas78, Source: Literotica
... sucer le gland en l’entourant de nos deux bouches. Ma mère est une suceuse expérimentée, elle introduit le bout de sa langue dans le méat, une caresse buccale que la Maitre semble apprécier le plus. Nos 2 bouches se partagent les filets de liquide séminal.Le Maître me rattache au pied du lit.- Tu vas voir comme ta mère jouit. Elle va être incapable de se contrôler.Pendant plus d’une heure, ma mère n’est plus qu’une boule de jouissance, ses deux orifices sont comblés tour à tour plusieurs fois. Le lit est trempé, elle ne se contrôle plus. Je ne l’ai jamais vue comme ça, quand le Maître se retire, c’est un flot de mouille qui coule de sa fente. Je la découvre femme fontaine. J’espère que les murs épargnent nos voisins de chambre de ses cris de plaisir. Au bout de plus d’une heure, son cri rauque accompagne ceux plus aigus de ma mère. Quand il se retire, son œillet rougi reste ouvert. Un flot de sperme s’en échappe. Si je m’écoutais j’irai laper cette liqueur, mais impossible. Il me regarde et voit dans mon regard mon envie et mon impuissance.Je ferme les yeux pour me calmer. Ma mère vient se coucher sur lui, pour un moment de calme et de tendresse. Il l’a épuisée.- C’est dommage pour toi, Lise, de ne ...
... pas avoir été autorisée à goûter à ce nectar, quel dommage !Le Maître est goguenard, il sait ma frustration.- Et regarde entre tes jambes, tu as sali la moquetteC’est vrai que sur la moquette, mes sécrétions se sont écoulées sans que je m’en aperçoive. J’a joui sans me toucher, je n’ai pas réussi à me contrôler, trop d’excitation visuelleIl me détache, m’allonge en travers de ses genoux, pour me fesser longuement, pas une punition pour moi, mais désormais un moment de plaisir et de fierté. Je deviens maso et j’en éprouve beaucoup de plaisir.
Le lendemain matin nous descendons pour le petit déjeuner. Une table voisine nous regarde avec insistance et amusement, peut être nos voisins de chambre. Nous quittons l’hôtel et notre Maître nous dépose devant la maison familiale pour fêter l’anniversaire de ma mère en famille. Aucune allusion de mon père à propos de sa femme et de sa fille qui rentrent après une nuit d’absence. Je me rappelle des mots prononcés en voiture sur le cocufiage accepté de mon père. J’en aurai le lendemain matin une autre preuve, en rentrant nue sans frapper dans la salle de bain, alors que mon père sors de la douche. Pour la première fois, je découvre sa minuscule cage de chasteté.