1. Sacrée nièce !


    Datte: 26/08/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Renifleur, Source: Hds

    ... maman l’a sentit.
    
    -Approche, alors ma belle !
    
    Elle bat des paupières sous le compliment, sourit, puis s’avance. Longues jambes, une démarche élégante, des fesses hautes et largement évasées, elle s’avance jusqu’à toucher la chaise où j’ai posé mon cul pour écouter ses mémoires. Je prends l’initiative de remonter ma main sous la robe, en suivant la cuisse, jusqu’à l’ourlet de la culotte. Je glisse un doigt sous l’élastique et la ressort gluant de mouille. Elle a un rire vicieux.
    
    - Ma mère mouille autant ?
    
    -Baisse plutôt ta culotte, salope !
    
    Sourire salace aux lèvres, elle tire sa culotte de dessous sa robe, et la laisse tomber sur ses pieds, s’emprisonnant les chevilles avec, j’ajoute :
    
    -Tourne-toi !
    
    Elle s’exécute. Un instant je reste en admiration, devant un si beau tableau. Devant une touffe noire, laissée en friche, luisante de cyprine ! Un clitoris rougissant, dressé au fait de ses deux lèvres rebondies, frêle papillon sortant de sa nymphe ! C’est torride ! C’est excitant !
    
    Elle ne bouge pas d’un centimètre, les mains le long des hanches. Je pose ma main sur son sexe. Je tourne des doigts sur la muqueuse jusqu’à ce que je la sente assez souple, et je me glisse à l’intérieur de l’anus aussi loin que je peux. Je perçois l’étroitesse du canal mais en même temps la délicatesse de ses muqueuse. Elle se tend en poussant un braillement, et des flots de liquide coulent sur mes doigts.
    
    Petit à petit, je me rends compte que je peux facilement enfoncer ...
    ... plusieurs doigts dans son anus. En même temps je masse ses fesses. Elle gémit, halète, bave aussi bien de la bouche que du sexe, jouit en enchaînant les orgasmes sous mes caresses.
    
    Quand j’enlève mes doigts d’elle, sa muqueuse est dilatée et le reste. C’est impressionnant de constater à quel point elle est ouverte. Je vois l’intérieur rougeâtre du rectum, la rondelle avec ses plissements bien marqués dans sa chair.
    
    Je me lève et, debout derrière elle, ouvre mon pantalon.
    
    -Mets-toi sur la table !
    
    -Comme la dernière fois ? Pendant qu’on visionner le film des vacances ! Me fait-elle.
    
    -Tu veux que je te prenne ? Oui ou non ?
    
    Elle pivote d’un quart de tour et se couche sur le plateau en bois de sapin. Son cul est haut. Je fais tourner mes deux doigts, la gorge nouée. La vulve se met à clapoter et à s’ouvrir d’une façon qui ne laisse plus de doute. Elle s’agrippe des deux mains à la table, elle se met mi à geindre et à s’étirer en tous sens, en proie à un orgasme honteux.
    
    Je me saisis alors de son cul à deux mains et m’agenouille derrière elle. Le nez enfoui dans la raie des fesses, je capte les arômes, fortes, qui feraient sans doute fuir d’autre âme. Mon plaisir est intense. Je colle ma bouche à la chair moite et tiède de sa chatte velue. Avec mes pouces, j’écarte les volumes charnus. Je désire maintenant le petit anus froncé, dont je veux faire connaissance. J’y enfonce pour cela une langue épaisse et retrouve le goût amer qu’il m’excite tant. Déjà sous la ...