Première expérience candauliste
Datte: 24/08/2025,
Catégories:
fhh,
candaul,
danser,
fête,
Oral
69,
double,
Partouze / Groupe
confession,
couplea3,
Auteur: MONGAL, Source: Revebebe
Je situerai mon récit aux alentours de l’année 1985. Nous étions alors un couple toujours très uni, amoureux l’un de l’autre comme aux premiers jours malgré plusieurs années de vie commune. Notre vie sexuelle était plutôt épanouie et nous étions ouverts à de nouvelles expériences, pourvu qu’elles se limitent à nous deux. Nous avions bien eu quelques appels du pied de couples parmi nos relations qui auraient aimé pratiquer l’échangisme, mais nous n’y avions pas répondu ni l’un ni l’autre, n’étant pas tentés par les expériences pluralistes. Nous avions alors tous deux entre 30 et 40 ans et habitions la Guadeloupe depuis plusieurs années. Une vie de couple tout ce qu’il y a de plus normale jusqu’à cette soirée folle, totalement imprévue, inoubliable, qui reste gravée à jamais dans ma mémoire dans les moindres détails et dont voici le récit :
Nous sommes invités chez un couple d’amis qui ont organisé une fête dans leur grande villa avec piscine. Il y a beaucoup d’invités qui, pour la plupart, se pressent les uns contre les autres dans des zouks endiablés sur la piste de danse, aménagée pour l’occasion dans leur grand salon ouvert sur l’extérieur et dans lequel on a repoussé les meubles. Quelques autres(comme moi) boivent un verre en discutant autour du bar ou au bord de la piscine. Les tenues sont décontractées, la température nocturne est tiède, comme d’habitude aux Antilles, et après quelques punchs ou verres de champagne on est tous plus ou moins éméchés. Bref, l’ambiance ...
... est assez « chaude », comme souvent en Guadeloupe dans ce genre de soirée.
Ici, on aime danser et le « collé serré » est une véritable institution. Hélas, à ton grand désespoir, je suis personnellement un piètre danseur. Comme d’habitude, j’ai fait ma BA en dansant un ou deux rocks et quelques slows langoureux avec toi ou en m’agitant dans quelques déhanchements collectifs au cours desquels je me trouve complètement ridicule et dont je m’éclipse toujours assez rapidement. Pendant que les couples enlacés s’expriment aux rythmes des biguines, mazurkas, salsas, zouks et autres, je préfère passer mon temps à discuter et à plaisanter à droite et à gauche en buvant un verre avec nos amis. Il en va tout autrement pour toi qui ne manques pas une danse, d’autant plus que ton sens du rythme, tes formes arrondies et ton caractère enjoué sont appréciés des Guadeloupéens qui ne te laissent pas souffler, venant t’inviter l’un après l’autre.
Ce soir-là tu portes une robe légère assez décolletée, boutonnée sur le devant de haut en bas ; en femme libérée que tu es, comme souvent, tu ne portes pas de soutien-gorge et, ce soir, je te trouve particulièrement épanouie et attirante ; nous sommes toujours très amoureux et la confiance règne entre nous, aussi, c’est sans aucune jalousie que je te laisse danser avec d’autres hommes.
Entre deux morceaux, tu viens parfois me voir pour me faire un petit bisou, vérifier que je ne m’ennuie pas trop et me dire que(contrairement à moi) tu adores ...