1. Le journal érotique de Maud (5)


    Datte: 23/08/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    Mardi
    
    J'ai repris le boulot hier à l'épicerie bio. Plutôt contente de retrouver les clients et surtout Caroline, noire comme un pruneau après ses vacances naturistes. Moi, mon bronzage est un peu morcelé. On a parlé bien sûr de nos vacances et je ne lui ai pas caché mes frasques, ce qui l'a ravie. Surtout quand je lui ai dit que j'avais joué collectif. "Te voilà définitivement dépucelée", m'a dit cette sacrée libertine. Le suis-je désormais aussi ? Bien possible, même si ce n'est pas vraiment mon but. Je lui ai parlé de Coralie et Magali et elle regrette comme moi qu'elles n'habitent pas notre ville, on ferait un sacré quatuor.
    
    J'ai revu évidemment mon livreur de légumes, toujours aussi sexy, mais j'ai l'impression que je lui fais un peu peur. Comme s'il craignait que je lui mette la main aux couilles devant tout le monde. Je crains qu'il ne me faille trouver un autre chevalier servant. Pas gagné, vu la clientèle très senior. Il va falloir sortir le soir, et ça ne va pas être simple avec les gosses, qui sont revenus chez moi, pour ma plus grande joie.
    
    Avec Caro, on a eu une discussion de nanas. J'hésite à me laisser pousser les poils du pubis et des aisselles, comme elle, qui tient à être "la plus nature possible". D'avoir vu le minou chevelu de Coralie et Magali m'a d'autant plus interpellée que ça n'a pas empêché les mâles de se gaver de leur chatte avec leur museau. Ils y prenaient même plaisir, de mélanger barbe et moustache avec leur pilosité. Et puis, ça ...
    ... m'éviterait la douleur de la cire. Pas agréable, l'épilation.
    
    L'autre discussion a été plus triviale. Caro m'a demandé carrément si, dans mes ébats vacanciers, je m'étais "fait prendre par le cul". Ben oui, même si ce n'était pas ma tasse de thé. Et est-ce que j'y avais pris plaisir ? Bien obligée de répondre oui. Pour elle qui est fan de la sodomie, c'était encore la preuve que j'avais franchi le Rubicon... de l'arrière. J'ai repensé aux grosses bites de Jules et de Loïc, au plaisir qu'elles m'avaient donné et j'en ai conclu que, quoi qu'on en dise, les grands formats, ça a du bon. Caro m'a approuvée et cette discussion nous a donné à toutes les deux envie de baiser. Elle a appelé son julot pour lui dire de passer à l'épicerie. Ils vont encore forniquer comme des bêtes dans l'arrière boutique pendant que je servirai les vieilles dames, et ça ne peut plus durer. Il faut que je me trouve un régulier. Mais qui ?
    
    Mardi, deux semaines plus tard
    
    Après mon retour au boulot, j'ai connu un coup de mou. Plus d'excitation, plus de libido. De savoir Caro en train de baiser dans l'arrière boutique avec son julot m'énervait plus qu'autre chose. Les gosses m'accaparaient. Je n'avais plus de vie à moi. Alors, l'envie m'a pris de revoir Magali. J'ai profité du tour de garde de mon ex pour mes gosses et je me suis octroyée un grand week-end avec l'assentiment de Caroline. J'ai avalé des kilomètres en voiture pour revoir ma copine de vacances, enchantée de me retrouver. Je lui ai expliqué ...
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