Souvenir Stéphanie
Datte: 23/08/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceran, Source: Hds
Cela faisait trois ans que le chantier tournait, il avait grosso modo son rythme de croisière, quand un jour le standard me passa un appel de la secrétaire de notre fournisseur de bétons et autres produits en béton. Ça a été bonjour et après je me suis fait engueuler car nous ne payons plus nos factures, … Après qu’elle se soit essoufflée j’essayais de lui expliquer et de lui confirmer que j’allais m’occuper de son problème le plus rapidement possible. En fait, après enquête, le fait été que la comptable fournisseur enceinte avait été remplacée par une jeune débutante et dans les mêmes locaux il y avait deux entités et les factures avaient males étés dirigés. Prise de rendez-vous puis rendez-vous avec Stéphanie puis que tel était son nom. Accueil un peu froid, explications et assurance que des ordres avaient été données à la banque pour payer les factures en retard, sourire, … et elle me propose un café, … vue l’heure, je lui propose un déjeuner pour nous faire pardonner. Pas d’hésitations. Je l’invite dans ma voiture et nous voilà en route pour un petit troquet dans la zone industrielle. En allant au restaurant je l’observai discrètement, dans les 1,60 m, jolie femme, un peu type espagnole, brune, cheveux cours, et une belle, très belle poitrine, disons une poitrine généreuse. Disons un joli morceau. La conversation fut agréable, en fait elle était certes la secrétaire responsable de la société, son mari étant le gérant. Cela faisait 5 ans qu’ils étaient en poste, … et son ...
... pied vint heurter le lien… oh, excusez-moi, … puis une seconde fois, là je ne bougeais pas et le tutoiement pris le relais du vouvoiement, … et la conversation continua et encore une autre fois, sa chaussure vint contre la mienne et ne bougea plus, … il me fallait agir, et alors qu’elle prenait le sel, je lui pris la main, sourire. Le repas fini, en sortant du restaurant, je lui pris le bras, pas de problème son sein vint se buter contre mon bras. La tension montait chez « popol ». On reprend la voiture pour la ramener au dépôt, je démarre première, seconde, troisième, je lâche le changement de vitesses et pose ma main sur sa cuisse. Elle pose la sienne sur la mienne et me dit : « C’est peut-être dangereux, … » Moi : « Oui, … peut-être, … mais j’ai toujours aimé prendre des risques, surtout avec les jolies femmes, … »Stéphanie : « Bien, … » et elle remonta légèrement sa jupe, ma main arriva ainsi sur sa cuisse enfin sur son bas, …je ne roulais pas trop vite, espérant remonter plus haut, encore plus haut, … malheureusement nous arrivions devant le portail de l’entrepôt.
Stéphanie : « Je descends débloquer la porte, … tu passes, … et je referme, … » et remonta en voiture : « Vas te garer à l’arrière de l’entrepôt, … » et elle me précéda dans l’entrepôt puis les bureaux et seulement là, je pus et elle accepta que je la saisisse. M’expliquant et cela était évident que de son bureau, elle pouvait observer les entrées et sorties de l’entrepôt. Après une agréable partie de lèche ...