Le réveil d'un autiste, Tatiana 2 - Histoires de Sexe

Le réveil d'un autiste, Tatiana 2

... serrés l’un contre l’autre. Je remonte tout le long de sa verge en en léchant le dessous sur la grosse veine proéminente. Je retire mon visage de dessous sa verge pour venir la saisir fermement à la base. J’incline la tête afin de présenter ma joue droite et me baffe à plusieurs reprises avec son gros calibre dans un « tap-tap » qui résonne dans la pièce, « TAP/TAP/TAP ». Mais il s’impatiente et je sais que si je ne fais pas ce qu’il désire, il risque de s’énerver.

- « Maman », tu vois comme ma queue est toute dure, tu ne vas pas me laisser comme ça non ? Mange-moi à fond, pompe-moi fort, oui comme ça, empale ta bouche sur ma bite, oui plus vite, baise-toi la bouche avec ma queue, je suis sûr que t’es trempée de la chatte comme mes « sœurs », j’ai hâte de te bourrer ta moule mais pour le moment, enfonce plus ma bite, caresse-moi les couilles, oh oui c’est bon, suce-moi fort.

Mais comment peut-il parler si vulgairement ? Je n’ai jamais sucé que mes maris, ce n’est pas la chose que je préfère mais voir l’énorme queue de mon fils adoptif toute bandée rien que pour moi, j’ai une envie irrépressible, je veux te sucer mon bébé, caresser tes boules bien juteuses. C’est la première fois que je vais gober un tel phallus, j’approche ce gros chibre dressé vers le ciel et commence à le lécher, puis finalement à faire coulisser mes lèvres sur son gland. Je dois avoir l’air d’une vieille salope se tapant un jeunot, la bouche pleine de cette bite incestueuse.

-Oooohhh, ...

... ouuuiii ! Continue, prends la plus profondément que je sente le fond de ta gorge. Tu pompes aussi bien que mes « sœurs ».

Ça y est, c’est dit, c’est la deuxième fois qu’il fait allusion à ses sœurs, mais lesquelles ? Ce ne sont réellement que ses cousines, mais pour lui, il ne fait aucune différence. Mes salopes de filles ont fait de Narcisse, ce garçon innocent, l’homme en face de moi qui n’a aucun scrupule à se faire sucer la bite par sa presque mère… C’est horrible, j’en pleurerais de honte mais son sexe est tellement beau que je ne pense qu’à le sucer encore et encore avec des « slurp-slurp-slurp », sa tige est si grosse qu’elle me fait bien baver, la bouche grande ouverte pour tailler cette mémorable pipe.

Je le suce de bas en haut, n’en revenant pas de la longueur que j’arrive à m’enfiler, son gland touche le fond de ma gorge mais pour autant, je n’arrive pas à le prendre en entier dans ma bouche. Mes yeux brillent embués de larmes, je suce en fond de gorge son gros dard mais ça ne lui suffit pas. Il m’encourage :

-Appuie sur mes fesses, avale tout, plus loin bordel !

Comme je n’y arrive pas, il serre ma tête entre ses deux mains et force ma bouche de salope, j’ai des hauts le cœur quand sa verge passe la barrière de ma glotte et disparait en entier entre mes lèvres. J’arrive à me maitriser pour ne pas refermer mes mâchoires et déchirer de mes dents sa formidable trique. Il se rend compte du danger et se retire, me permettant de reprendre une respiration ...