Lucie
Datte: 22/08/2025,
Catégories:
fh,
caresses,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Pascal L'arc, Source: Revebebe
... s’entrechoquent et j’en reconnais un que je lui avais offert. Elle se cambre davantage pour faciliter mon passage.
— Doucement, s’il te plaît, ça fait longtemps…
Cette remarque m’intrigue, mais je pousse en elle, rebondit sur ses belles fesses.
— Tu savais…
— Oui… oui… je savais…
Sa voix s’alourdit, mes coups de reins résonnent en elle. Le haut de son corps s’affale sur le canapé. Je vois ses seins trembler quand je la laboure. J’aime voir bouger ses chairs sous mes charges répétées. Sa respiration s’accélère. Mes mains passent de ses seins à son ventre, de son ventre à ses reins. Je prends ses fesses entre les mains, les serre, lui écarte la raie pour entrevoir son cul. J’ai envie qu’elle me sente lui passer dessus. J’ai toujours aimé la baiser, son petit côté passif ou timide qui m’entraîne à la bousculer. Elle est empêtrée dans son short et son string, ma bite entre les cuisses, elle encaisse et je pousse plus fort la soulève, elle a la tête dans les coussins, les mains agrippées au canapé, je suis au fond, elle est trempée.
— Thibaud, Thibaud, s’il te plaît, viens, s’il te plaît, viens.
Bien sûr, je viens, j’explose dans son vagin, je me vide entre ses cuisses, elle me sent jouir en elle, me laisse la remplir en disant juste : « Thibaud… Thibaud… ». Je l’enserre de mes bras, l’embrasse dans le dos où perle un peu de sueur. Un goût de nostalgie. Elle est magnifique aujourd’hui.
Je me rhabille sommairement et m’affale dans le canapé pendant qu’elle ...
... récupère ses affaires puis se reculotte, remet son haut avant de me rejoindre. Je l’observe attentivement. Je dois avoir les yeux un peu hagards, car je crois qu’elle attend encore quelques secondes avant de me parler, alors que je sais qu’elle en meurt d’envie. Elle me demande en premier :
— Ça va, t’es calmé ?
— C’est ta faute, tu ne m’appelles pas assez.
Elle sourit. Nous échangeons ensuite des banalités, sa vie de femme mariée, la mienne à l’opposé, nos souvenirs communs. De temps en temps, je lui embrasse la nuque, passe sous son débardeur pour la caresser. Elle me décoche toujours son regard de reproche, type « je peux savoir ce que tu fais ? » mais reste quand même à portée de mes mains. J’ai toujours cette impression d’une grande douceur avec Lucie, d’un terrain connu. Elle sait comment je fonctionne, que lorsqu’on se revoit, je ne me calme pas avant de lui avoir fait l’amour une première fois.
Là ça va, tout est facile. Nous parlons pendant une heure et je finis par me rappeler que j’ai apporté une bouteille de bourgogne, un Montrachet. Je l’accompagne chercher des verres et elle continuer à me parler, principalement de sa famille et de nos connaissances communes. J’aime l’écouter, nous fonctionnons différemment, à l’opposé. Son appartement est toujours austère, dépouillé. Je me souviens néanmoins que nous y avons passé ensemble deux très belles années. Je profite d’être dans la cuisine pour ouvrir la bouteille, un vieux millésime majestueux au nez complexe et ...