Le Fan
Datte: 21/08/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... les yeux spectateurs du mari toujours figé. Je me penchais au-dessus d’elle, pour embrasser son épaule, avant de descendre lentement vers ses fesses, que je me mis de nouveau à masser à l’aide de mes mains, allant jusqu’à glisser un doigt entre elles. Agaçant son anus qui sentait bon la vie.
Très vite ma bouche et ma langue assiégèrent les lieux. J’ouvris de mes mains, ses fesses, pour pouvoir lécher sa petite bague. Je cherchais à y enfoncer le bout de ma langue, et cela aussi loin que me le permettait élasticité des lieux. J’en profitais pour respirer ses odeurs intimes. Espérant y trouver les mêmes que ceux qu’il m’avait tant fait vibrer dans son slip.
Comme vous avez pu vous apercevoir vous, mes chers lecteurs, à travers mes récits, j’adore le gout intime des vraies femmes. Et de préciser si vous le permettez, que toute ma vie je n’avais jamais rencontré une femme dont je n’avais pas aimé son goût et son odeur. Et cela, peu importe le moment de la journée.
Catherine se tortillait sous mes caresses, avant de se décider à me faire fasse, et de souder de nouveau ses lèvres aux miennes. Je profitais de l’instant pour m’intéresser à son sexe. Effleurant de l’index son clitoris. Sa chatte était ouverte, des plus accueillante aussi, comme je les aime. Alors je me laissais glisser le long de son corps, tout en le baissant.
Je jetais un coup d‘œil du côté de Marc. Le coquin s‘était résolu à faire sortir son sexe de son pantalon, et se masturber joyeusement. Pour ma ...
... part j’étais à présent devant le sexe de sa belle. Elle avait relevé ses jambes, les avait repliées pour mieux s’ouvrir. Offrant son sexe à ma convoitise. J’en profiter, une fois n’est pas coutume, pour humer son odeur intime. Puis du bout de la langue, je léchais ses grandes lèvres au goût aigre. Pousser par le parfum que je citerais d’aphrodisiaque, je plongeais mon visage contre sa fourche. La pénétrant de ma langue, frottant mon nez contre le clitoris dardé.
Je ne mis pas longtemps à trouver les points sensibles de la dame. Je me mis en devoir de sucer son clitoris comme je le l’avais fait plus tôt avec ses tétons. La pénétraient tant avec ma langue qu’avec mes doigts, ainsi qu‘avec mon nez, et cela pour son plus grand plaisir.
Tout en la régalant, je fouillais du doigt son anus. Qui très vite, sous la caresse, devenait de plus en plus élastique. Jusqu’à me le gober. Dans l’élan, je fourrais deux autres dans son vagin. Putain ! Quel plaisirs de l’entendre couiner de plaisir. M’encourageant de continuer ! Criant aussi des obscénités destinées autant à Marc qu’à moi. Son corps tremblait, ses gémissements devenaient cris, de long cri, puis un orgasme, le premier avant une longue série, jusqu’à ce que, épuisée, elle ne me repousse en me tirant par les cheveux pour m‘écarter de son intimité, attirant mon visage souillé de son propre plaisir vers le sien, pour de nouveau m’embrasser.
- Goûte Cochonne, lui lançais-je, comme ta chatte à bon goût !
- Dégueulasse ! Fût sa ...