« Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (22) : Carpe Di
Datte: 21/08/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... tête avant de poser ses lèvres sur les siennes. En quelques secondes, les amants se sucent la langue goulument. Tullia sent contre elle l’immense sexe, elle n’en peut plus de désir.
Les esclaves qui s’affairaient dans la maison, le jardin et la terrasse ont cessé de travailler pour s’approcher et ne rien perdre du spectacle qui leur est offert. Certains ont déjà partagé la couche de la Domina et savent combien elle est chaude. Mais ils ne l’ont jamais vu dans un tel état d’excitation. Certains encouragent Adherbal, exprimant eux aussi un certain sentiment de revanche sur leur condition d’esclaves :
• Vas-y Adherbal, niques-la !
• Oui, baise cette putain de Romaine !
D’autres, plus anciens, n’osent exprimer leur désapprobation devant ce qu’ils considèrent comme une insupportable déchéance pour une Domina et une Matrone.
Tullia n’en peut plus d’attendre la saillie. Elle appelle le mâle, elle supplie presque :
• Vas-y ! Prends-moi ! Qu’est-ce que tu attends ? fac mecum quod vis (« Fais de moi ce que tu veux). Mets-la-moi !
Adherbal s’enfonce enfin éperdument dans la chatte offerte. C’est une délivrance pour Tullia, qui exprime son plaisir :
• Oh, par Vénus, c’est divin ! Vas-y, bien au fond ! Pilonne-moi, démonte-moi. Encore !!!!!
Adherbal commence ses mouvements de va et vient, lentement, puis, accélère comme une machine, envoyant à la Domina une foudroyante décharge électrique qui la mène, en quelques secondes, au premier ciel de la ...
... jouissance.
Adherbal n’a pas joui et il veut marquer d’une autre manière sa domination sur Tullia. Il va la prendre par la voie étroite. Adherbal donne à Tullia ses longs doigts à lécher à pleine langue, pour les mouiller et il en fait de même avant d’enduire son gros sexe à quatre reprises de leurs deux salives mêlées, pour que ça glisse bien. Et, ce qui devait arriver arriva. Il présente son engin devant l’anus de Tullia. Devant son hésitation, Adherbal s’enfonce en elle d’un coup sec, bestial et très profond pour se libérer. Bien que forte, la douleur ressentie laisse la place à une sensation de bien être.
Adherbal prend le cul de Tullia très profondément, faisant vibrer son intérieur jusqu’au ventre. Tullia lui demande fiévreusement de ne pas s’arrêter et de continuer à lui labourer l’anus.
• C’est génial. Absolument délicieux ! Fabuleux ! J’aime ça !
La bite d’Adherbal ne sort pas du cul de la patricienne, même lorsqu’il lui prend la jambe gauche pour la retourner face à lui. Il la soulève entièrement en la bourrant. Tullia s’accroche à son cou en lui mangeant la bouche et le visage, comme une sauvage affamée. Il joue avec son cul en changeant de rythme au gré de ses désirs. Puis, il écarte les jambes aussi loin que possible et s’enfonce encore plus en elle.
C’est bien sûr dans le vagin de la patricienne que l’étalon veut se finir. Adherbal reprend cette fois Tullia par la chatte, qu’il baise sauvagement et rapidement. Tullia jouit encore une deuxième fois comme une ...