AGENT SPECIAL GWENAEL
Datte: 20/08/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: GwenaelBlondinet, Source: Hds
... vraie baiseuse, ton cul est fait pour la bite, Tony m’a raconté la façon dont il t’a baisé et comment tu aimes qu'on s'occupe de ton joli petit cul de bourge, tu me dis que tu as peur mais moi quand je vois comment ton cul est chaud et ton petit trou s'ouvrir et se fermer, lui il n'a pas peur, il a envie que ma grosse bite le défonce.
Luis posa une de ses mains sur le haut de mon derrière bouillant et de l'autre il maintint son splendide phallus contre ma corolle et commença à peser dessus.
Une douleur effroyable m'envahit quand l'énorme tête du pénis écarta mes chairs, je poussai un hurlement.
M : Aie aiieee aaiiieeee !!!!!, doucement, je t'en supplie arrête, j'ai mal, ta bite est trop grosse, tu vas me déchirer, aaaiiiieeeee !!!.
J’étais en pleurs, mon amant suspendit sa poussée et aussitôt la douleur diminua.
L : Calme-toi, arrête de chialer comme une gonzesse, tu as mal parce que tu as peur, je sais que ma bite est très grosse, mais je suis sur que ton trou du cul peut la prendre et je te le répète c'est trop tard pour arrêter, maintenant je dois t’enculer.
Malgré la souffrance que je venais d'éprouver, il avait raison, j'avais été trop loin pour arrêter maintenant et j'étais tellement excité.
M : Je ne veux pas arrêter, au contraire je veux que tu me baises, mais je t'en supplie fais doucement, c'est très douloureux.
L : Bien sur ma petite pédale que je vais faire doucement je ne veux pas casser ce joyau qu'est ton cul, allez détends-toi, ...
... abandonne-toi et tu verras ça fera beaucoup moins mal.
Il se remit de nouveau à pousser, lentement millimètre par millimètre, le fabuleux gland me pénétra, je mordais les draps pour ne pas hurler tant j'avais mal.
Quand enfin le gigantesque bout durci fut en moi je pleurais en silence, Luis resta immobile quelques instants puis doucement il sortit son sexe de mon antre et l'introduit de nouveau.
Ce mouvement eut pour effet de m'assouplir la rondelle et petit à petit la douleur disparut pour faire place à une douce langueur.
L : Alors ça va mieux, tu vois que j'avais raison, la tête de ma bite est dans ton cul, tu sais le reste est très long mais c'est moins gros et je me rends compte que tu es contente salope, tu veux toujours que j'arrête ?.
Il avait raison, j'avais le cul en l'air complètement offert au mâle tel une chienne en chaleur, je ne voulais plus qu'une chose c'était de me faire baiser comme une salope, je ne voulais plus que ça.
M : Non je ne veux pas que tu arrêtes, je veux que tu t'enfonces entièrement en moi, je veux sentir ta bite me baiser.
L : Bien te voilà redevenue raisonnable ma petite putana, tu vas voir je vais bien te faire jouir ma salope. Posant ses mains sur mes lobes charnus mon homme s'enfonça en moi jusqu'à la garde, j’ai poussé un cri de femelle, criant comme une folle, il resta collé à moi, immobile me laissant m'habituer à la monstrueuse présence qui m'obstruait le fondement, j'avais l'impression que mes fesses allaient se détacher ...