1. Confessions de femmes mûres. Joëlle (55 ans)


    Datte: 19/08/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ‌‌‌‌Je m'appelle Joëlle, j'ai 55 ans, je suis mariée avec Régis mais hélas, il est atteint de la maladie d'Alzeimer et vit le reste de ses jours dans une institution spécialisée si bien que je suis veuve de fait, même si je mets un point d'honneur à lui rendre des visites régulières car je l'aime toujours.
    
    C'est d'autant plus dur à vivre que la nature ne m'a pas désavantagée. Mes rondeurs d'âge sont contenues, je reste coquette avec ma petite crinière auburn savamment entretenue et ma libido reste intacte, hélas frustrée car j'ai toujours aimé faire l'amour. Avec Regis, ce fut même longtemps une drogue dure. Avec le recul, je me dis qu'on a même été sacrément cochons. J'y reviendrai.
    
    Mais en attendant, je fais mon bonheur moi-même avec un gode acheté sur internet. Pas pareil. J'envie ma voisine et copine Yolande, divorcée avec sa vie de bâton de chaise. Elle a mon âge, s'est teint les cheveux en noir d'encre, n'est pas mieux foutue que moi même si elle est plus mince mais elle baise. Elle s'est mise dans la tête de me sortir de mon marasme. "Sinon, tu vas t'enlaidir et dépérir", me répète t elle.
    
    Et c'est ainsi qu'elle m'a entraînée dans son night club habituel. Auparavant, elle m'a fait changer ma garde robe. J'ai investi dans un soutif à balconnet et un string assorti, sous son influence, sans trop savoir à quoi ça servirait, si ce n'est à rehausser mes seins déjà bien opulents lorsque je porte un décolleté (encore un achat de plus). J'étais donc vraiment sexy ...
    ... quand j'ai fais mon entrée dans cette boite avec Yolande qui, elle, était carrément à poil sous sa robe fendue à la cuisse et décolletée dans le dos jusqu'aux reins. On pensait faire des ravages. Tu parles. Il n'y avait que des jeunots et des couples déjà formés. On est rentré un peu bourrées et avec mal aux pieds à force d'avoir dansé... ensemble. Le fiasco.
    
    - Pas d'affolement, j'ai une nouvelle carte en mains, a dit Yolande.
    
    J'ai appris qu'elle faisait du naturisme sur une plage à quelques kilomètres de chez nous et qu'elle avait des copains qui seraient ravis de faire ma connaissance. A condition bien sûr que je laisse mon maillot à la maison. Montrer mes fesses à tout le monde, ce n'était pas vraiment mon trip mais Yolande a insisté en me disait que c'était "super de se baigner nue". J'ai cédé, surtout pour ne pas la décevoir.
    
    J'avoue que quand je me suis mise à poil sur cette plage, je n'étais pas à mon aise, comme si tout le monde me matait. Mais j'ai fini par m'apercevoir que les plagistes, tous nus, s'en foutaient pas mal, que je sois désapée. Et sentir le soleil mordre ma peau sans entrave était même agréable. Yolande m'a quand même enduite d'écran total car si elle était intégralement bronzée, exposant un beau corps enviable, j'étais blanche comme un lavabo. Au bout d'un quart d'heure, je n'avais même plus la conscience d'être à poil. Yolande m'a présentée à un groupe de seniors (plus ou moins), en couple le plus souvent, mais aussi à un certain Claudio, solide ...
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