Ocyto-shot
Datte: 19/08/2025,
Catégories:
f,
fh,
médical,
amour,
Masturbation
caresses,
intermast,
pénétratio,
jouet,
mélo,
amouroman,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... doucement son entrejambe pendant qu’elle pince légèrement ses tétons de la main gauche. La droite reste le long de son corps, entre nous.
Même sans la caresser plus, je sens des vagues parcourir son ventre. Elle part progressivement dans un voyage voluptueux auquel je ne participe que marginalement. Je suis là pour le petit plus qui lui manque pour jouir enfin.
Son corps chaud contre le mien, elle me dit en phrases courtes ce qu’elle ressent et ce que ça change de me sentir près d’elle.
Elle voudrait que je lui raconte des trucs érotiques. Je décide de ne rien inventer, mais de lui dire sincèrement ce qui se passe en moi, dans la paume de ma main. Comment j’ai l’impression de flotter dans ses parfums de femme qui saturent l’air autour de nous. Combien j’aime sentir les premières vagues de plaisir au creux de son ventre.
J’évite soigneusement les mots trop doux, mais je ne retiens rien de ce que je ressens. Finalement, c’est elle qui a voulu mon aide, qu’elle assume !
Après de longues minutes où j’ai l’impression qu’elle reste sur un plateau sensuel, elle se décide à pousser le vibro à fond. Elle plaque ma main contre sa chatte, puis replie ses jambes contre son ventre pour mieux laisser monter l’orgasme.
Le pouce et l’index de sa main gauche en mode titille-téton à haute fréquence, elle ne tarde pas à soupirer, puis à gémir et finalement à râler sourdement lorsque les secousses de volupté traversent tout son corps.
Elle broie ma main entre ses cuisses à ...
... chaque contraction de son ventre, mais le bonheur de l’avoir délivrée de son mauvais sort me fait oublier la douleur.
Lorsque ses muscles se relâchent, je retire délicatement ma main, en provoquant quelques répliques sismiques apparemment très agréables, si j’en crois le sourire qui illumine son visage.
Son expression de bien-être me met le cœur à l’envers. Je dois me retenir pour ne pas la prendre entre mes bras et lui murmurer des trucs qui dépasseraient la ligne rouge de l’amitié. J’attends au contraire patiemment qu’elle revienne à elle et précise ce qu’elle attend de moi.
— Tu m’as dévissé la tête et le ventre, mais c’était tellement bon. Merci, mon ami.
— Et maintenant, que puis-je pour toi ?
— Il faut que tu partes. Tu m’as explosé les neurones avec le shot d’ocytocine que tu as provoqué.
— C’est grave, docteur ?
— Non, c’est trop bon, mais oui, c’est grave. Ça me met dans la tête des idées de vie à deux, de poussette, de siestes coquines sur la terrasse d’une petite maison dans la prairie. C’est pernicieux l’ocytocine pour une célibattante1.
— Mais ça ne dure pas, rassure-moi.
— Quelques minutes à quelques heures.
— On se revoit quand ? C’est quoi ton rythme de plaisirs ?
— Ben, deux à trois fois par semaine. Tu peux te libérer ?
— Ah, quand même ! je vais voir, mais pour toi je ne recule devant rien. Après-demain midi ?
— Neuf heures. Le saut du lit nous va bien, non ?
Sans doute complètement sous l’emprise des endorphines et des neuro-machins de ...