1. Le jour où la maman est devenue une pute...


    Datte: 18/08/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Faustinebcbg, Source: Hds

    ... poney. Deux trépieds avec des téléphones sont déjà installés. Hadrien appuie sur le bouton rouge.
    
    - Ça enregistre, allez enlève ta robe de mariée, Héloïse de Bellac, et montre à ton public comment la truie que tu es se comporte avec les porcs de mon étable.
    
    Je comprends ce que Hadrien voulait dire quand il m’a dit qu’il me briserait. Je comprends que je ne serai plus jamais la même. Je pense à Guillaume, je pense à mes enfants, à mes parents, à mes beaux-parents. C’est comme si l’Héloïse qu’ils pensaient connaître allait mourir aujourd’hui, à cet endroit précis. Je ne suis plus Héloïse, je deviens la « Nouvelle Héloïse », enfin j’épouse mon destin de putain, comme je l’ai toujours voulu, au plus profond de moi. Je me déshabille, et laisse tomber par terre ma robe de mariée. C'est comme si l'ancienne Héloïse disparaissait en même temps que la robe immaculée. Je garde ma laisse autour du cou puis m’étale à quatre pattes dans les excréments des porcs. C’est la période de rut. Les cochons ne sont pas longs à me sentir. Un premier me grimpe dessus et me casse le dos. Je tombe la tête la première dans la fange au milieu des rires de l'assistance. Je parviens péniblement à m’extraire, je suis couverte de boue, je dégouline dans l’enclos des porcs. Je ne me suis jamais sentie autant à ma place.
    
    - Sous l’abri !
    
    Hadrien m’indique un abri qui doit servir de protection aux truies lors de la saillie. Je m’y réfugie le plus vite possible, tout en conservant ma position cambrée. ...
    ... Le premier cochon s’approche et à nouveau me grimpe dessus. Cette fois je ne sens rien, juste son corps qui résonne en tapant sur la taule de l’abri. Très rapidement je sens sa queue en tir bouchon qui cherche mes trous. Elle se faufile d’abord dans mon anus. C’est une sensation étrange. Ce n’est pas douloureux, j’ai juste l’impression que quelqu’un me chatouille le côlon. Puis la bête change de trou et pénètre mon utérus. Cette fois-ci la sensation est beaucoup plus excitante. La bête frôle mon clitoris en creusant son sillon et me fait jouir bruyamment, puissamment. Je n'ai jamais senti quelque chose de semblable. Au bout de l'humiliation je retrouve celle que je suis, en harmonie avec le cochon, en harmonie avec les bêtes et avec la vie. Mais l'excitation retombe d'un coup. Le cochon est encore en moi et, au bord de l’enclos, tous les téléphones sont de sortie. Les spectateurs n’en manquent pas une miette. J’ai à nouveau profondément honte, je tente de me dégager mais la bête me coince. Elle finit par éjaculer des litres de sperme très liquide qui dégoulinent sur mes fesses et le long de mes cuisses.
    
    Je viens d’être saillie par un cochon. Moi, la maman parfaite, la femme amoureuse, aimante, la collègue sympathique et timide. Moi Héloïse, que rien au monde ne prédestinais à un destin pareil, en ce 10 juillet 2023, j’ai été saillie par un cochon. Je sors de mon abri, dégoulinante de fange et de sperme, je suis applaudie par un public de plus en plus nombreux. Un homme me ...
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