COLLECTION SOUMISSION. Commissaire de police (3/4)
Datte: 18/08/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... dessinée, certainement, l’ayant vu un jour se faire fouetter depuis la mezzanine où j’avais l’habitude de jouer.
À cette insinuation sans le moindre fondement, je deviens folle, la rage me prend, les menottes que je lui mets prestement avant qu’elle réagisse.
La colère décuple mes forces, car j’arrive à les passer dans le crochet du palan et de la soulever jusqu’à ce que ses pointes de pieds touchent à peine le sol.
Je lui arrache littéralement ses vêtements me montrant des piercings aux seins, nombril et à la chatte.
• Regarde ces poids, avec ces chaines, ils se pendent sur les anneaux que j’ai sur ma chatte, les petits sur les seins.
J’en ai dans des cartons dans la maison, les miens font 200 grammes pour ma chatte et 50 pour mes seins.
Ceux-là font 500 pour la chatte et 100 pour les seins.
Tu peux bien te voiler les yeux, ta mère sans être une pute comme moi aimait se faire martyriser.
500 grammes, j’ignore combien de temps ses maîtres lui plaçaient, mais ses lèvres vaginales devaient être très distendues.
Je regarde ses grandes lèvres, c’est vraie qu’elles sont déjà très grandes, mais la rage me prend.
Je me saisis d’un fouet et commence à taper méticuleusement.
Combien de fois ai-je eu envie de frapper de pauvres connards voulant me tenir tête alors que je les interrogeais, surtout lorsqu’ils avaient pratiqué des actes abjects.
Je frappe, je frappe, ses seins, sa chatte, instinctivement j’évite son visage.
L’effluve de rousse ...
... toujours présente lorsqu’on est près d’elle, m’enivre à chaque fois que je touche une partie de son corps.
J’ai chaud, mais je continue, je fouette tout en enlevant mes vêtements, je vois un gode et sa ceinture, lorsque j’aurais fini de la fouetter, je lui pendrais les poids et je la sodomiserais.
Je suis sûr qu’une pute adore se faire sodomiser.
Mais avant mon bras se lève et la lanière fait apparaitre du sang sur son sein droit.
Je suis comme une lionne voyant le sang couler, je veux la déchiqueter.
Une main me saisit le poignet où j’ai le fouet.
• Patronne, arrêtez, vous aller la tuer, il était temps que j’arrive.
• C’est bon Dominique continue, je prends mon pied comme jamais.
Ces mots m’arrivent aux oreilles en même temps que mes mains sont menottées et que je me trouve pendue, collée à Françoise.
Mes seins sont sur ses seins, je sens ses anneaux exciter mes pointes, je suis sûr que ça les fait bander.
Nos chattes se touchent et ses anneaux excitent mon clito que j’ai très proéminent.
Le fouet qu’il m’a arraché, commence à tomber principalement sur ses fesses, la lanière, assez longue, doit nous entourer au mouvement qu’elle fait avant de finir sur moi.
Je dois reconnaitre que j’aime ça.
François lâche le fouet, il saisit mes menottes pour me détacher du crochet et me fait mettre à quatre pattes.
C’est moi la commissaire, sa commissaire, François devrait me montrer du respect.
Mais avant que j’aie le temps de m’offusquer, il a dû ...