Un plombier bien serviable - Histoires de Sexe

Un plombier bien serviable

... le rouleau de sopalin à côté. Tout indique qu’une séance de branlette était sans doute en cours ou même terminée. Je regarde Delphine qui, loin d’être dupe, me questionne.

— Tu étais en train de te branler ? J’y crois pas ! Je te dérangeais apparemment ! Je suis vraiment désolée !

Je me jette sur l’ordinateur afin de le refermer, mais sens bien que je suis pris sur le fait accompli.

— Tu es très observatrice ! Difficile de ne pas me trahir avec la gaule que j’ai depuis tout à l’heure !

Face à elle, je vois son regard se poser sur mon sexe. C’est la première fois qu’elle le voit en entier et tout éclairé. Elle semble être ébahie. Je regarde également son corps nu, le trouvant finalement harmonieux malgré sa maigreur, signe d’une légère anorexie.

— Mon état n’est pourtant pas du tout habituel. Tiens, assieds-toi, je vais te raconter.

Nous nous installons sur mon canapé, je lui raconte mon accident de VTT, lui montre ma cicatrice à l’aine, ainsi que mon testicule gauche encore assez bleuit. La totalité de mon sexe est rasée, car cela est plus pratique pour y appliquer des crèmes apaisantes. Je lui décris la perte de sensations, la prise de comprimés conseillés par ma contact internet Zazabelle, les augmentations de volume et les douleurs provoquées. Et enfin, les érections de plus en plus longues et les poussées d’excitation parfois fulgurantes.

— Mon pauvre ! Et depuis que je suis venue te solliciter à venir réparer ma fuite d’eau, tu es dans cet état-là ? ...

... Quand je pense que je t’ai avoué que je me suis masturbée jusqu’à me faire jouir comme jamais, alors que toi tu n’as pas vidé tes couilles depuis plusieurs mois !
— Oui, mais bon, ne t’inquiète pas, et je sens que les effets des gélules s’estompent, tu vois, je bande déjà beaucoup moins.
— Relève-toi que je voie ça de plus près ?

Son regard exprime de la sidération par ce qu’elle voit, là, juste devant ses yeux. Certes, mon pénis n’est plus aussi tendu, mais le voilà à l’horizontale, toujours de taille aussi impressionnante.

— Mon Dieu ! Mais quelle bite tu as ! Et ces couilles ! Je comprends que ça puisse te faire mal un truc pareil !

Je hoche la tête. Delphine prend délicatement le milieu de mon pénis entre ses doigts. Elle le compresse doucement afin d’évaluer sa dureté, puis en fait de même avec mes testicules rasés. Puis elle fait glisser ses doigts le long de la tige jusqu’à venir caresser doucement le gland directement.

— Elle est magnifique et impressionnante ! Je n’en ai jamais vu une pareille ! Comme elle est douce ! Et j’adore le fait que tu te la rases complètement. Honnêtement, tu peux être fier de ce que tu as ! Je suis certaine que des tas de filles vont se ruer sur toi.

Je reste sans voix, intimidé par la présence de Delphine aussi proche de moi. Elle tient mon pénis à pleine main à présent et son regard exprime de l’envie et de la gourmandise. Sa main coulisse tout le long de ma tige, depuis la naissance des testicules jusqu’au sommet de mon ...