Un plombier bien serviable - Histoires de Sexe

Un plombier bien serviable

... ton petit short, ainsi que tes grosses couilles. Puis un peu plus loin, j’ai carrément vu ta bite qui était vraiment ÉNORME. J’avais bien remarqué que tu bandais depuis ta venue chez moi, mais je ne pensais pas qu’elle était aussi volumineuse. Alors, je me suis amusée à zoomer dessus et cela m’a tellement excitée qu’en me doigtant comme une folle, j’ai giclé de l’eau en abondance comme tu as pu le constater. C’est la première fois que j’arrive à faire ça et je suis inquiète !

Mon imagination tourne à plein régime. J’essaie de visualiser toutes les séquences décrites par Delphine puis le geyser de sécrétion féminine qui s’en suivit. Elle avait donc bien vu mon pénis par l’échancrure de mon short. Ces aveux révélés, je ressens alors un sentiment de fierté d’avoir pu procurer une telle émotion chez une fille, j’étais donc réconforté dans le fait de prendre moi aussi du plaisir à m’exhiber en sa présence.

Je reste songeur et sans voix. La bouche entre ouverte, de la bave s’écoule du bas de ma lèvre. Delphine me regarde rouge de honte, et après ce blanc interminable, elle attend sans doute une réaction de ma part.

— Punaise ! en effet ! Il me semble avoir vu une vidéo d’une fille qui arrivait à faire ça aussi. Je crois que ça s’appelle être une « femme-fontaine » ou un truc du genre. Tu n’as aucune inquiétude à avoir avec ça, bien au contraire ! Tu as tout simplement giclé comme n’importe quel mec le fait. Tu devais être sacrément excitée pour une telle performance ! Il ...

... y en a partout !
— Voui ! Du coup, mon lit est pas mal trempé et pas possible que je dorme là-dessus ni sur ce ridicule petit canapé. Alors je me suis dit…
— Oui, tu as eu raison ! Vient dormir chez moi, en tout bien tout honneur, et ne t’inquiètes pas, tout cela restera entre nous.
— Vraiment, tu es adorable ! Je ne te remercierais jamais assez. Mon Dieu que je me sens honteuse !
— Bah, tu sais, je suis pas mal honteux moi aussi, tu sais, de m’être exhibé de la sorte en ta présence alors que nous ne nous connaissons finalement pas. Mais finalement, j’ose ressentir de la fierté, après tout, de t’avoir procuré une telle excitation.

Je me relève de son canapé, le jogging tendu comme jamais. Delphine le regarde avec un sourire complice, puis nous regagnons mon appartement.

Sur le trajet, dans les escaliers des communs, je n’en mène pas large, car je ne cesse d’essayer de retenir mon jogging trop lâche qui a constamment tendance à glisser sur mes fesses à chaque marche. Ma hantise serait de croiser un des habitants de l’immeuble, mais à cette heure très tardive et dans ces escaliers, les chances de voir quelqu’un sont très faibles. Proche de moi, Delphine me suit toujours dans son peignoir qu’elle essaie de maintenir fermé sur le devant. Je ne suis pas le seul à lutter contre les caprices vestimentaires.

— Il est chiant ce peignoir, le cordon du devant ne cesse de se détacher.
— J’ai un problème similaire ! Mon jogging n’est pas noué sur le devant et il n’arrête pas ...