Détente coquine dans un camping très spécial ( partie 4) - Histoires de Sexe

Détente coquine dans un camping très spécial ( partie 4)

... la fête. En y arrivant je fais le tour mais sans pouvoir le trouver. Sans espoir de le voir je retourne tristement à mon bungalow car je ne trouve pas que ça vaut le coup de faire la fête sans lui. Les yeux pleins de larmes et le cœur lourd, mes pieds me mène tristement à mon bungalow situé un peu à l’écart des autres et sans m’en rendre compte. Arrivé à la hauteur de la porte je vois qu’il y a de la lumière à l’intérieur.

Je suis un peu dubitative car je pensais vraiment que j’avais éteint en partant. Toujours triste, ma vision se trouble de plus en plus j’entre et referme la porte derrière moi ; et je ne me rends pas compte que je ne suis pas dans le bon endroit,je me dirige directement dans la chambre. Je me laisse tomber sur le lit assise et je sens les larmes couler le long de mes joies, je retire mes bijoux et me couche en sanglotant. L’image du visage du beau jeune homme me hante toujours et devient de plus en plus vivace et ainsi que son parfum. Un parfum enivrant qui vient jusque dans mes narines raviver encore plus mes souvenirs de lui. D’un seul coup je me relève et je remarque que je ne suis pas dans mon bungalow, je regarde partout, à droite, à gauche je me relève et rentre en plein dans quelqu’un. Je me frotte le front et relève les yeux, toujours plein de larmes qui ont tracé des sillons sur mes joues, tristes, vers cette personne.

Malheureusement, il fait noir maintenant et je distingue juste une silhouette qui tend une main vers moi et je sens des ...

... doigts doux et fins venir lentement essuyer les larmes de mes joues. Lorsqu’elles ont fini de couler je sens alors son pouce caresser doucement, lentement ma bouche, mes lèvres une à une qui s’écartent, s’entrent ouvrent à leur contact. À ce moment-là je ferme les yeux et un doux et électrisant baiser vient s’apposer sur ma bouche, aussi doux qu’une plume et en même temps toute cette douceur dans le noir m’électrisent tout le corps. Mes seins se durcissent et mon sexe s’humidifie, un gémissement sort de ma bouche entrouverte. Le baiser intensifie de plus bel et les mains se trouvent maintenant sur mon corps et parcourent mes formes avec avidité et gourmandise et impatience tout en tendresse et délicatesse du bout des doigts tout aussi doucement et lentement que ces baisers. Mon paréo glisse lentement jusqu’à mes pieds. Je sens entre deux baisers que l’inconnu sourie et me dit doucement à mon oreille « Je savais très bien que tu viendrais me voir, je l’ai vu dans ton regard, je ne suis pas venu à la fête pour que tu viennes dans mon bungalow car moi aussi j’avais très envie de te revoir, je n’ai pas cessé de penser à toi à ton corps, tes formes ; mes mains étaient impatientes de les caresser, d’effleurer les courbes de ton corps si parfait si voluptueux si... hum mes lèvres de t’embrasser…"

L’espace d’un instant, j’ouvre les yeux à cet aveux et je distingue à travers la pénombre le visage de l’homme que j’avais tant voulu voir pendant la soirée se dessiner la devant moi ; cet ...