1. Une tranche de vie suite


    Datte: 15/08/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micron, Source: Hds

    ... dos appuyé au mur, les jambes largement ouvertes et la jupe remontée, il ne fallait pas que son mari nous vous ainsi, il y aurait un drame. Heureusement, Isabelle, qui était beaucoup plus chaude que je ne le pensais, partie tout d’un coup, en poussant un grognement et en se contractant entièrement, alors qu’elle inondait ma main de son plaisir. Elle récupéra rapidement et elle s’en retourna dans la chambre. Elle était soulagée, mais moi, j’avais une trique intéressante, mais, ... Je changeais rapidement de chemise et rejoignais Henry, qui attendait patiemment. Puis arriva Isabelle, toute pomponnée, souriante, ...
    
    Je décidais de donner le signal du départ. En voiture, nous dirigeâmes vers la mini-brasserie ou j’avais réservé un box. Arrivé sur place, je saluais le patron et on s’installa dans le box. En fait, c’était une table pour 4 personnes, avec un paravent de chaque côté. On s’installa, Henry et Isabelle sur le grand côté de la table et moi sur le petit côté, mais à côté d’Isabelle. Commande et le premier plat arrive, et je sens la jambe gauche d’d’Isabelle qui se colle à ma jambe droite. J’espérais un peu la chose. Quelques instants plus tard, ma main droite discrètement, passe sous la table et se pose doucement sur la cuisse d’Isabelle. Déception, je suis bien sur sa cuisse, mais la robe couvre celle-ci. J’essaye de dégager le tissu, mais impossible. Je me retirais, un peu déçu. Le diner avança et je vis qu’Isabelle se tortillait un peu. Espoir. J’attendais un peu, ...
    ... que tout le monde s’occupe de son assiette, et ma main replongeait sous la table, et là, surprise, ma main se pose sur la cuisse d’Isabelle. Par réflexe, « popol » se secoue. Je remonte légèrement vers le haut, il est également dégagé. Je suis pratiquement à mi-cuisse et J’en profite pour caresser l’intérieur de celle-ci. Elle a une peau extrêmement douce, que je caresse doucement et calmement, et je remonte. Au fur et à mesure de la remontée, l’autre cuisse s’écarte légèrement, mais assez pour me laisser progresser. Je quitte l’emplacement, pour éviter tout malentendu. Le diner avance sans se presser et moi, j’ai la main qui replonge, de temps en temps, sous la table pour caresser de nouveau la cuisse et essayer d’aller plus avant, disons plus haut. Nous arrivons, presque au dessert, quand Henry s’excuse, car il doit s’isoler. Il quitte la table, sans rien dire Isabelle, s’enfonce, légèrement, dans sa chaise pendant que ma main droite plonge sous la table et atterrit sur sa cuisse et je remonte vers son abricot. Plus j’avance, plus ses jolies cuisses s’ouvrent et j’arrive à son joli fruit, que je peux toucher du bout d’un doigt. Il est chaud et humide, mais je ne peux aller plus loin, elle s’est redressée, Henry arrivant.
    
    Le diner terminé, nous nous rendons, comme d’habitude le samedi soir, à la boite de nuit, où nous retrouvons les copains et copines, mariés, célibataires de la bande. On s’est installé à côté du groupe sur une table ronde, Isabelle entre Henry et moi. Au ...
«1234...»