1. Patricien sous le règne de César


    Datte: 15/08/2025, Catégories: fh, fff, ffh, poilu(e)s, fsoumise, fdomine, hdomine, soubrette, humilié(e), odeurs, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, sm, historique, historiqu, dominatio, Auteur: Divinmarkiz, Source: Revebebe

    ... son office, prit sa tablette du jour sur laquelle étaient consignés les tâches à effectuer et le nom des esclaves responsables ; elle alla faire ses premières inspections en se demandant qui des deux femmes qu’elle avait en tête rejoindrait Caius demain soir. Elle se décida pour Doria, une Ibère charnue que Gallia utilisait parfois ; sensuelle, avec elle en tous cas, soumise au-delà de ce que lui imposait sa condition d’esclave, Doria n’avait aucune retenue et prenait plaisir à être maltraitée entre les mains de Gallia ; elle possédait une toison épaisse et drue que Caius appréciait, elle le savait. La journée, toujours très remplie dans une si vaste demeure, s’écoula sans incident ; Germa assignée à des tâches ancillaires en cuisine n’avait discuté aucun ordre ni provoqué de désordre. Elle semblait rentrer dans le rang. Épuisées après leurs longues journées, les esclaves se couchaient tôt dans leur dortoir au bout duquel, légèrement surélevée, se trouvait la chambre de Gallia. Elle fit venir l’Ibère et lui indiqua qu’elle verrait le maître demain soir.
    
    — Allonge-toi que je t’inspecte.
    
    Doria comme les autres se pliait à cette discipline régulière ; elle ouvrit les cuisses et les releva. Après avoir lissé ses poils de part et d’autre de la fente, Gallia écarta les lèvres, passa un doigt dans le vagin avant de le déplacer vers son petit trou qu’elle pénétra sans difficulté. Satisfaite, elle souleva sa tunique pour lui offrir son sexe.
    
    — Tu peux te caresser pendant ...
    ... que tu me lèches.
    
    Doria s’exécuta avec le plaisir de celles qui ne sont pas favorites. Au moment de rejoindre sa paillasse, Gallia lui demanda de revenir le lendemain soir avant de l’accompagner chez Caius.
    
    Caius rentra tard de son dîner, mais, assoupie, Gallia et deux servantes l’attendaient, peut-être aurait-il un désir.
    
    — Allez, Gallia, va dormir et emmène-les, je n’ai besoin de rien. Demain matin, vous me préparerez un bain chaud.
    
    Pour le rituel du bain que Caius prenait chaque matin, Gallia avait assigné Domitillia qui apportait les seaux d’eau chaude et froide, et une essence de lavande que leur fournissait un marchand phénicien.
    
    Caius prenait son bain seul, un moment durant lequel il passait en revue ses tâches de la journée ; celle à venir serait rude, il le savait.
    
    Lorsqu’il en sortit, Domitillia, qui se tenait à l’écart, lui apporta des linges pour le sécher ; tout cela se passait sans pudeur, les esclaves, même pour Caius, n’étant que des objets.
    
    Après maintenant trois jours, Gallia convoqua Germa à son lever ; toujours encombrée de ses chaînes, elle se présenta accompagnée de Fatilla.
    
    — Tu as fait des progrès, Germa et j’espère ne plus jamais avoir à te punir.
    
    L’esclave se tenait à bonne distance, dans une posture respectueuse, et indiqua dans son langage qu’elle serait désormais à ses ordres.
    
    — Bien, retire-lui ses chaînes et ensuite tu l’allongeras pour qu’on l’inspecte.
    
    Lorsqu’elle comprit ce qu’on attendait d’elle, Germa eut des ...
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