1. Telle mère, telles Filles !


    Datte: 01/08/2019, Catégories: Anal Inceste / Tabou Auteur: phantome19, Source: xHamster

    ... dire…ta sœur Marie ? Il y a tres longtemps qu’elle a perdu ses virginités mais on dit que c’est un bon coup !
    
    Ma sœur est Italienne par son père et elle a trente-six ans.
    
    - Ça fait combien de temps que tu ne l’a pas vue ?
    
    Je ne réponds rien et elle continue.
    
    - Je te la donne. C’est une pute ! Tu vois je suis une gentille fille à sa maman. Tu veux mes sœurs aussi ? Nous ne sommes pas jalouses. Mais garde ma boucle et tu me reviendras toujours. Je t’ai jeté un sort !
    
    - Chantale ! Crois-tu que je pense à...
    
    - Turlututu ! je suis sur que tu es un pervers.Un tonton cochon qui viens d’enculer sa petite nièce et sans état d’âme !Tu peux nous prendre toutes les quatre mais tu me reviens ! Je sais ce que je dis quand je ne me branle pas.
    
    Après un nouveau rire de jeune fille délurée, elle saisit ma main, roule jusqu'à moi et reprend aussi sérieusement que possible :
    
    - Jusqu'à treize ans je suis restée en pension avec des jeunes filles du monde. Puisque tu sais tant de choses, tu te doutes ce que font les directrices et les sous-maîtresses qui ont la vocation de vivre leur putain de vie dans un bordel de jeunes pensionnaires.
    
    - Un peu gouine ?
    
    - Je n'osais pas le dire, fit Chantale avec une ironie charmante.
    
    - Et comme elles devaient avoir des renseignements sur ma mère, tu penses qu'avec moi elles ne se gênaient pas.
    
    - Les infâmes créatures ! Elles ont abusé de ta candeur ? Elles t'ont fait boire de force le poison du vice ?
    
    - De force ! Elles ...
    ... m'ont pervertie ! dit ma nièce Chantale qui plaisantait et prenait de l'assurance.
    
    - Quatre fois elles m'ont surprise en train de branler mes petites amies...
    
    - Ah ! Tu...
    
    - Elles se cachaient dans le jardin, dans le dortoir, dans les corridors et jusqu'à la fenêtre des cabinets pour faire les voyeuses ! Crois-moi c’est vicieux, une sous-maîtresse !
    
    - Elles payaient pour voir ça ?
    
    - Mon cul !des mauvais points. Et pourtant!... Qu'est-ce qu'on leur montrait sans le vouloir ! Des combinaisons épatantes qu'elles n'auraient jamais trouvées toutes seules!... Enfin, je suis devenue l'amie d'une grande qui m'a enseigné en dix leçons le saphisme tel qu'on le parle...
    
    - Ça veut dire ?
    
    - L'art de faire mimi doucement au point sensible. L'art de ne pas mettre son petit bout de langue n'importe où. C'est ce que je savais le mieux faire quand je suis sortie de pension ; beaucoup mieux que l'Histoire sainte et la géographie. Mais, avec ma grande amie, on se retrouvait dans tous les coins et, la cent vingt- cinquième fois, je me suis fait pincer par Mlle Paule.
    
    - Laquelle t'a pervertie un quart d'heure après ?
    
    - Oui. Dans ma chambre, sous sa jupe. Avec un pantalon fermé qui avait des boutons partout. Et une jolie petite chatte, la cochonne ! Les poils, le pucelage, le bouton, les lèvres, tout me plaisait. J'aimais mieux faire minette à elle qu'à mon amie. Crois-moi, c'est vicieuse une sous-maîtresse !
    
    - Putain de merde. Et tu ne dis pas tout.
    
    - Non. J'oubliais ...
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