1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. Prisonnière (1/1)


    Datte: 14/08/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... l’hôpital.
    
    Un midi où je préparais le déjeuner, elle est entrée avec ses clefs quand le téléphone a sonné.
    
    Sylvain était dans le bureau attendant qu’elle entre en montant ses vidéos.
    
    Depuis qu’ils m’avaient fait voir qu’ils m’espionnaient, la pièce m’était accessible et je devais même la nettoyer.
    
    Le téléphone a sonné, elle a décroché, c’était un client qui voulait un rendez-vous pour me sauter.
    
    Je suis passé derrière elle, les clefs étaient dans ma main.
    
    Elle est partie vers le bureau le téléphone à l’oreille.
    
    C’est mon oncle, une nouvelle fois pardon, qui avait mon planning.
    
    Dès qu’elle a franchi la porte je me suis ruée vers la porte.
    
    Je rappelle que je vivais nue à la disposition de l’un ou de l’autre s’ils avaient envie de me baiser.
    
    Par chance, Ghyslaine avait juste fermé sans mettre le verrou, je me suis retrouvée dehors.
    
    Combien de fois ai-je répété ce que je devrais faire, j’avais vécu ici depuis avant la mort de mon père.
    
    Il y avait un perron avec une barrière de fer et quatre marches de chaque côté pour atteindre la cour.
    
    J’ai sauté par-dessus, gagnant le temps de descendre les marches.
    
    Telle une gazelle, je l’ai franchi me retrouvant au sol sur les graviers.
    
    C’était là le point faible de mon plan, mais j’ai serré les dents me mettant à courir vers le champ à l’arrière de la maison.
    
    Deux kilomètres pour rattraper le centre-ville et le commissariat.
    
    À midi, peu de monde dans les rues et par chance la gendarmerie ...
    ... fermée tous les soirs était ouverte.
    
    Un policier m’a recouvert de sa veste, cachant ma nudité.
    
    Voilà, je suis sortie des pattes de ceux que je vais continuer à appeler once et tante.
    
    Les gendarmes les ont arrêtés à la frontière allemande avec du fric et des vidéos de cul.
    
    Mon cul bien sûr.
    
    Je viens de récupérer les clefs de la maison.
    
    En effet, dès la mort de mon père, mes oncles et tantes à leur demande, on voulut devenir mes tuteurs, ce qui fut fait.
    
    La maison était à moi ainsi qu’une assurance-vie que je pouvais gérer à ma majorité, mais en se servant généreusement.
    
    Lorsque j’ai eu dix-huit ans, ils ont eu peur que je découvre tout et ont décidé de me prostituer étant de plus en plus avide.
    
    J’ai tout vendu, sur mon compte à la banque à Paris ou j’ai acheté un appartement près de la tour Eiffel, je constate la somme importante qui s’y trouve.
    
    Largement de quoi vivre en m’achetant un petit commerce sympa.
    
    Mon portable sonne, je décroche.
    
    • Oui, je suis Paola, quand puis-je vous recevoir ?
    
    17 heures après votre travail, je regarde, oui je suis libre.
    
    Les tarifs, ils sont sur mon site, non, impossible d’avoir des remises.
    
    À 17 heures, je saurai prendre soin de vous.
    
    Pourquoi ?
    
    Tonton était peut-être un macro, mais il était doué pour l’informatique et le site qu’il avait créé me permet de vivre sans un mec pour me piquer mon pognon.
    
    Il me paye, je les suce, ils me baisent et basta au suivant, même si j’ai des habitués.
    
    Même ...