Le pari - Histoires de Sexe

Le pari

... lorsque je suis avec un homme, le plus souvent devant mon mari, je deviens une véritable diablesse, mais ce n’est jamais moi qui commence. Là je n’avais pas le choix car je voulais lui prouver que je pouvais éventuellement m’offrir. Finalement , j’ai trouvé un motif très plausible pour frapper à leur porte.

« Bonjour, je suis désolée de vous déranger, mais je suis à la porte ; en sortant pour aller au courrier, j’ai claqué la porte et mes clés sont à l’intérieur ; le bouquet, mon mari est sur la route et il ne sera là que dans une heure ; me permettez vous de l’attente chez vous, car cela me gène de rester à la porte et je n’ai pas un centimes pour aller prendre un café »J’ai débité sans m’arrêter, peur de perdre mes moyens. Il m’observe, toujours aussi sévère, avant de me laisser entrer.

« Il serait dommage que je laisse une si jolie femme sur le palier ; entrez, mon fils ne va pas tarder et même si je dois partir avant le retour de votre mari, il sera là , sans problème »Tout en me parlant, il me déshabille du regard ; il faut reconnaitre que j’ai mis tous les atouts de mon côté ; uns courte jupe portefeuille qui a la malencontreuse habitude de s’ouvrir facilement quand je marche ou croise mes jambes, et un caraco couvrant ma poitrine, mais il est évident que je n’ai pas de soutien-gorge, tant les tétons pointent sous le fin tissu. Son visage est devenu plus doux et je sens ses yeux sur mes fesses lorsque nous nous dirigeons vers le salon.

Courtoisement il m’offre ...

... un café et nous dévissons, faisant connaissance pour la première fois ; il est courtois, parfois malicieux, mais toujours observateur ; je dois reconnaitre que mon jeu de jambe est bien volontaire et rapidement il doit pouvoir découvrir une bonne partie de mes cuisses.

« Vous étés ravissante, je découvre une voisine très sexy ; je regrette de n’avoir pas osé converser avec vous plus tôt , mais il vrai que très souvent, vous étiez en charmante compagnie ,il aurait été malvenue de ma part de vous importuner » Je réalise qu’il a dû comprendre que les visiteurs étaient plutôt des amants et le rouge me monte au visage ; il s’en aperçoit et posant sa main sur la mienne, il s’excuse de ses propos déplacés, à son avis ; mais pour moi, cela ouvre une porte pour que je puisse gagner mon pari ; d’autant plus qu’il n’a pas quitté ma main , ses doigts me caressant la paume. Ne penchant pour prendre ma tasse, ce qui fait bailler mon caraco, lui permettant de découvrir la profonde vallée de ma poitrine ;J’en profite pour écarter un peu plus mes jambe, ce qui , faisant remonter ma jupe, doit lui permettre de découvrir au moins mon string et sans doute plus car je le sens coincé entre mes lèvres, humide du plaisir naissant.

»votre mari n’est pas jaloux d’avoir une si jolie femme avec tant de charme qu’elle n’hésite pas à dévoiler ? »« « non pourquoi ? il devrait s’inquiéter de ma présence chez vous ? Je crois au contraire qu’il est heureux que nous ayons pu faire connaissance »« Même si ...