Douche impertinente - Histoires de Sexe

Douche impertinente

... revinrent entre ses cuisses et ses doigts reprenaient leur ballet. Faisant aller un doigt entre ses grandes lèvres quelques instants, pour par la suite le faire doucement tourner autour de son bourgeon tout en savourant le massage des jets de la douche. Ses gémissements reprenaient de plus belle.

Comme emporté dans un toboggan d’allégresse, j’avoue sans honte d’avoir joui du moment, là, à seulement quelques mètres de moi, j’avais une vue imprenable sur ses caresses. Un vrai ravissement ! Mon sexe était ankylosé, mais pas question de jouir. J’en voulais encore !

Depuis quelques secondes elle faisait danser son corps avec plus d’ampleur. Je discernais clairement ses doigts enfoui dans son antre tandis qu’avec deux autres elle se paluchait le clitoris. De doux et beaux cris emplissaient la salle de bain. Sa croupe accompagnait ses doigts dans une farandole bien plus qu’excitante. Elle se branlait la chatte doucement mais profondément. Je pouvais entendre, par moments, ses fesses claquer contre le mur.

Tout ses séquences avaient pour tendance à m’exciter au plus haut point, m’obligeant à cesser toute manipulation sur ma verge un moment. Puis tendant sa main, elle s’empara de la brosse à cheveux posée sur le lavabo.

Reprenant sa place initiale, elle reprit ses doux touchers. Elle écarta ses jambes et faisait lentement glisser son gode de fortune entre ses grandes lèvres tout en prenant soin, de bien le presser contre son clitoris.

Deux de ses doigts ...

... remontaient pour pincer tendrement ses mamelons. Après plusieurs allers et retours sur la surface de son sexe, ma mère décida de faire aller le manche de la brosse plus en profondeur. Cela pour son plus grand plaisir, comme pour celui du voyeur que j’étais.

Je la vis lentement amener l’arrondie du manche à l’entrée de son antre de plaisir, elle le faisait disparaître doucement. Cette introduction lui arracha un doux râle. Elle le faisait entrer jusqu’à la limite des poils. Le fis presque ressortir pour le rentrer entièrement à nouveau. Sa main, antérieurement sur son sein, redescendait et caressait frénétiquement son bouton. Cet ensemble de caresses la faisait gémir abondamment, son souffle s’accélérait depuis un bon moment déjà. Sa croupe se mit alors à vibrer, à sursauter, à bouger en tous sens.

Au bout d’un instant, alors qu’elle avait l’air d’être emportée par le plaisir, ma maman quitta son clitoris pour amener un de ses doigts aux abords de son petit trou. Dans le même mouvement, elle fit disparaître en elle la queue de la brosse et son long doigt. Ainsi doublement prise, elle exaltait et criait harmonieusement son bien-être. Son corps se tordit et ondula sensuellement.

S’en était trop pour moi, et j’avais joui. Me servant de ma main gauche comme coupe. Sitôt ma libido redescendu, je filais honteusement jusqu’à mon lit, où je fis semblant de dormir, attendant patiemment l’intrusion de ma mère.

Je n’étais pas des plus fringuant en train de prendre le petit déjeuner en ...