Confidences en cascade 1/2
Datte: 10/08/2025,
Catégories:
ff,
fplusag,
humilié(e),
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
uro,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... que vous me dites… Je ne vais pas pouvoir dormir ! En plus, maintenant, c’est une autre tension qui a pris le relais dans mon ventre : il faut que j’aille faire pipi !
— Tendre et coquine Marie ! Partagée entre le besoin de se caresser et le besoin de faire pipi, ma pauvre Puce ! Avec le risque que les deux arrivent en même temps… Hi, hi, hi !
— Ne vous moquez pas ! La dernière fois que ça m’est arrivé, j’ai beaucoup pleuré. J’aurais eu besoin que Chantal me prenne dans ses bras.
— Mais bien sûr que je vous aurais réconfortée si je vous avais trouvée souillée, j’aurais été très gentille, très caressante… Avant d’appeler vos colocs pour vous déculotter devant elles et de vous obliger à leur montrer votre chatoune dégoulinante.
— Oh mon Dieu ! Elles auraient pu constater qu’en plus d’être mouillée, ma chatte était visqueuse d’excitation. Et là, j’aurais mérité d’être grondée.
— Elles se seraient bien moquées de vous, c’est certain. Peut-être même qu’elles vous auraient tripoté les lèvres pour mieux voir votre fente baignée de pipi et de cyprine, voire me l’offrir pour une fessée de mounine. Les claques font plus mal quand la vulve est mouillée… Ce n’est pas une bonne punition, ça ?
— Arrêtez, ma Chérie ! S’il vous plaît !! Justement, ce soir j’ai eu un peu de mal à attendre d’être totalement déculottée pour commencer à me soulager. Mais c’est tout, je vous promets que je n’ai pas, trop, inondé ma culotte !
— Vous me troublez, ma Puce ! Je ne vais plus pouvoir aller ...
... faire pipi sans penser à vous… Et puis ces histoires de culotte mouillée et de punition… ça me renvoie à ma petite enfance, à une situation humiliante que j’ai évoquée dans un de mes premiers récits.
— Je ne me souviens pas trop du passage auquel vous faites référence. Ça me donne une bonne raison de vous relire. Mais, j’espère bien que vous penserez à moi la prochaine fois que vous aurez envie de faire pipi !
— Eh oui ! Qui sait si vous ne m’espionnerez pas ? Je n’ai pas l’habitude de fermer la porte…
— Je crois que j’ai vraiment une mauvaise influence sur vous, ma Chérie… Enfin vous n’avez pas trop besoin d’être poussée ! Ha, ha, ha !
— Remarquez, nous pourrions aller faire pipi en même temps. Nous entendrions de jolis bruits de cascades par le téléphone…
— Vous êtes une grosse cochonne, ma Chérie ! Je vous aime !
— Moi aussi je vous aime, ma Puce ! Pour la même raison !
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Elles n’étaient pas allées plus loin, ce soir-là. Mais ce délire partagé les avait étrangement émoustillées. L’auteure n’avait jusqu’alors usé de l’urolagnie dans ses récits que pour, selon elle, ajouter un effet d’embarras supplémentaire aux scènes d’exhibition ou de soumission. À la réflexion, elle devait reconnaître qu’elle avait éprouvé un surcroît de plaisir en les écrivant. Un aveu auquel elle n’aurait peut-être pas consenti sans les confidences de sa jeune interlocutrice.
Pour celle-ci, une confession aussi intime n’aurait pas été imaginable sans l’irrépressible inclination qu’elle ...