Papotages
Datte: 10/08/2025,
Catégories:
ff,
fplusag,
jeunes,
humilié(e),
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fouetfesse,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... une horrible cochonne ?
— Hum, vous me tentez, petite coquine ! Mais Andréa espère que vous vous tripotez fort le minou en pensant qu’elle inspecte votre petit trou.
— C’est vrai. Mon pauvre clitoris est triste tout seul… il faut bien que je le console avec des caresses. Et ma chatte en pleure ! Vous devriez l’embrasser, avec vos lèvres du bas, pour qu’elle se sente moins seule.
— Ma Puce, je crois que vous vous entendriez bien avec Andréa. D’ailleurs elle vous écoute, je vous la passe.
— Ah ?
— Bonsoir, Marie, c’est Andréa.
— Euh… Bonsoir Andréa.
— Je voulais vous dire merci, et vous souhaiter du plaisir avec cette copine que je ne connaîtrai pas, à moins que Chantal m’en parle, si vous lui en parlez.
— Oh ! Vous avez lu ça, aussi ?
— Oui. J’ai pris beaucoup de plaisir à connaître votre intimité avec Chantal et à regarder vos messages. Je vous aime bien moi aussi, ma puce, si vous me permettez de vous appeler comme ça.
— Oui, appelez-moi ma puce ! J’adore ça.
— Au revoir, ma puce. J’espère à bientôt et je vous fais des bises comme vous aimez…
— Merci pour vos baisers, Andréa. Je vous les rends… Aux mêmes endroits, je peux ?
— Mais oui, vous pouvez embrasser la chatte et les fesses d’Andréa, ma Puce ! Je le ferai pour vous. Bonne nuit et tout plein de bisous, petite coquine adorée.
— Bonne nuit à vous aussi, ma Chérie. Bonne nuit à vous deux ! Et moi, toute seule… Grrr !
— Hi, hi, hi ! On compatit, ma Puce !
o-o-o-o-o-o
Les jours et les semaines ...
... passèrent. Les liens entre la « Puce » et la « Chérie » devinrent toujours plus tendres, plus étroits et plus éhontés. Leurs pulsions, leurs désirs, leurs fantasmes, leur plaisir commun de s’exhiber, en pensées et en paroles à défaut d’actions, les poussèrent à extérioriser leurs échanges par des textes écrits à quatre mains qu’elles publieraient sur leur site de prédilection. L’idée que leurs confidences intimes seraient livrées aux lecteurs les excita, et plus encore la pensée que des lectrices pourraient être troublées de les voir dans la nudité de leur âme.
La Puce s’est enfin risquée à concevoir un premier récit, encouragée par sa Chérie. Par plaisanterie, et un peu par lucidité aussi, elle lui a dit se considérer comme sa filleule. La Chérie s’est réjouie de devenir une marraine. S’appeler « Filleule » et « Marraine » les rapprocha encore plus. Elles employèrent de plus en plus souvent ces termes affectueux.
Quelque temps avant Noël, après une conversation mêlant, comme à leur habitude, sérieux et lubricité, la Chérie se souvint d’une commission importante à l’intention de sa Puce.
— Ah, aussi : vous avez une bise d’Andréa. À mettre où vous aimerez être embrassée, a-t-elle précisé.
— C’est gentil ! Comment va-t-elle ? Je l’embrasse aussi !
— Andréa va très bien, ma Puce. Nous avons parlé longtemps au téléphone, et je lui ai transmis par avance les baisers que vous lui destinez.
— Vous avez bien fait. Je suis contente d’apprendre qu’Andréa se porte bien. Elle est ...