Professeures Bizutées - 2/8
Datte: 08/08/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... repartit s'enfoncer, un peu plus vite cette fois. La douleur fut la même jusqu'à ce qu'il se retire à nouveau complètement. Quelques longues secondes s'écoulèrent avant qu'il n'effectue à nouveau l'entier mouvement. Puis encore et encore, de plus en plus vite, de plus en plus sauvagement. Elle hurla encore au moment où il se vida en spasmes rapides.
La pression sur le linge qui bloquait la tête et les bras disparut. Lorsqu'elle se dégagea le visage, l'agresseur avait disparu. Elle détacha ses chevilles et se pressa de nettoyer l'infamie.
Avec sa porte ouverte toutes les nuits, elle voyait son calvaire sans fin.
DIMANCHE
/JULIE /FRANCOIS /THOMAS /DORON / CHARLES-HENRI
La journée du dimanche fut longue et angoissante, la nuit encore pire.
D'une part, elle craignait que l'agression nocturne se reproduise, d'autre part elle avait une horrible peur du lundi au lycée. Ses vicieux collègues allaient certainement l'attendre. Que lui réservaient-ils?
François, le prof de latin proche de la retraite, s'ennuyait ferme chez lui. Sa « bonne femme » comme il la nommait, avait perdu ses charmes depuis longtemps. Mais lui, tout rondouillard qu'il était, ne manquait pas de pulsions insatisfaites. L'absence de Julie pendant une semaine avait exacerbé ses désirs. "Il faut que je l'encule cette blondasse, ruminait-il, ma bite en a trop besoin. Elle revient lundi d'après le proviseur, je ne vais pas la rater."
Thomas, le prof de d'histoire, n'était pas frustré de ...
... relations sexuelles car sa femme de 40 ans y mettait du cœur à l'ouvrage mais il était frustré de relations de domination, de relations d'humiliation. Quand il baisait, il imaginait toujours mettre sa jolie femme à poil devant d'autres ou à quatre pattes en public. Il était fanatique des situations de non-consentement alors que son épouse restait désespérément conventionnelle. Et voila qu'il venait de trouver une prude victime, jolie, très bien gaulée, parfait objet de ses fantasmes. "Un jour ou l'autre, elle fera cours à poil, pensait-il, son gros cul et ses gros nichons présentés à tous les élèves."
DORON, depuis qu'il avait vu Julie la jupe relevée dans les couloirs et depuis qu'il l'avait trouvée à genoux dans les toilettes, venait travailler avec un enthousiasme que ses proches ne comprenaient pas. Le cégétiste trouvait maintenant que la vie au boulot valait le coup alors qu'auparavant il faisait tout pour ne pas bosser. "Elle arrive de bonne heure cette garce. Faut pas que je la rate. Une petite pipe me conviendrait bien."
Restait Charles-Henri, l'élève de terminale S. Il avait découvert, non sans surprise, que les profs pouvaient aussi se faire bizuter. A quelques mois de son entrée en école de commerce, après le bac, il était mort de trouille à la seule idée de subir un bizutage. En même temps, il était tout excité à l'idée de bizuter lui-même les nouveaux arrivants lorsqu'il serait en seconde année. Hélas il lui fallait attendre. Il se demandait s'il ne pouvait pas ...