1. Professeures Bizutées - 2/8


    Datte: 08/08/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... hommes. Avant de couper encore, elle ressentit une crainte décuplée car elle ne savait pas comment le gilet allait s'ouvrir et si les deux attaches restantes tiendraient sans rompre. C'était le début d'après-midi et elle avait encore trois heures de cours.
    
    - Julie, ça commence à bien faire! Tu m'énerves!
    
    Elle n'attendit plus pour sectionner. Le décolleté s'élargit alors jusqu'aux tétons qui semblaient retenir le vêtement. Le dessus des aréoles était nettement montré. Les deux malheureux boutons restants étaient tiraillés au maximum.
    
    Elle termina sa journée de cours de manière épouvantable. Elle passa la majeure partie du temps avec son bras en écharpe pour tenter de cacher les bouts de sein. Elle n'écrivit rien au tableau pour ne pas risquer de faire sauter les attaches. Elle bougea ses jambes le moins possible pour limiter les remontées de la jupe.
    
    SAMEDI
    
    /JULIE /MEDECIN
    
    Elle était épuisée, à bout de nerfs. Elle voulut obtenir un arrêt de travail pour essayer de se reposer, d'échapper à ses agresseurs.
    
    Elle prit rendez-vous avec un médecin choisi au hasard dans l'annuaire car, nouvelle dans la ville, elle ne connaissait personne. Elle se retrouva dans une vielle maison, dans une vielle salle d'attente, sur une vielle chaise et elle fut reçue par un vieux médecin.
    
    C'était sa dernière année d'exercice. Il en avait vu de toutes les couleurs mais rarement comme la superbe blonde qui venait d'ôter son manteau. Elle se présenta comme une jeune professeure, ...
    ... en charge de classes très difficiles, au bord de la crise de nerfs, épuisée. Elle avait besoin de dormir et se calmer. Évidemment, elle ne parla pas de ses déboires avec Discipline-team, avec François, Thomas et les autres.
    
    Le vieux médecin bandait derrière son bureau. Julie, dans sa grande nervosité, n'avait pas pris garde à ses jambes qui, à force de bouger, avaient remonté La jupe sur deux débuts de jarretières noires. Il aurait pu penser qu'elle était une prostituée mais son discours sonnait trop vrai.
    
    - Je vais d'abord vous ausculter, dit-il. Merci de vous lever.
    
    Elle le fit avec plaisir car elle pouvait ainsi laisser sa jupe redescendre. Il commença par la tension pour annoncer un taux élevé. Le médecin, en sa dernière année de pratique, avait décidé de profiter de l'aubaine. Il ne risquait quasiment rien. Le temps qu'un tribunal le condamne, il serait en retraite. Il avait donc gonflé le taux de 2 points.
    
    - Oh, votre tension doit absolument baisser! Rassurez-vous, je connais d'excellents remèdes. Voyons votre cœur.
    
    Il commença par écouter dans le dos. Par devant, il écouta sur la partie dénudée de la poitrine, une fois, deux fois, retourna derrière comme inquiet, replaça son stéthoscope, tiqua -- c'est rapide ça - réécouta devant. D'un geste précis et rapide, il glissa sa main droite dans le gilet pour sortir le sein. Il garda sa main dessous avec son pouce sur le téton. Il remit son stéthoscope en écoute. Elle fut surprise par cette façon de faire mais ...
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