1. COLLECTION VENGEANCE. Je sacrifie ma vertu pour la dette de mon mari (2/5)


    Datte: 06/08/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... petite fille, avez-vous bien vu dans quel état se trouve mon corps ?
    
    • Peu importe ton corps, ce que je veux c’est que ça soit toi qui me fasses découvrir ma vie de femme.
    
    Mon mari voulait faire de moi une pute en me vendant à toi, c’est moi de mon plein gré qui me donne.
    
    • Vous serez ma duchesse !
    
    • Je serais ce que tu feras de moi.
    
    • Alors, venez.
    
    Il me tire à lui mon corps toujours recouvert de ma robe de mariée et pour la première fois nos bouches puis nos langues se trouvent.
    
    • Je suis prête, soulève ma robe arrache ma petite culotte.
    
    • Attendez, je reviens.
    
    Handicapé par ses brûlures, mais agile, il saute du lit va dans une pièce qui doit être d’eau et en revient avec une grande paire de ciseaux.
    
    J’éclate de rire lorsque sans ménagement il découpe du bas en haut l’objet qui aurait dû représenter un pur moment de ma vie quand Jean me l’aurait dégrafé avant de faire de moi sa femme.
    
    Je l’espère, rapidement comblée.
    
    Comblée je le suis quand les ciseaux franchisent la partie vierge de mon corps.
    
    Comblé je le suis lorsque voyant ma petite culotte, il commence par embrasser ma virginité avant de la lécher au travers de mon léger voile.
    
    Comme s’il voulait retarder le moment de découvrir ma blondeur, ses ciseaux reprennent leur travail jusqu’à mon bustier fait d’une matière plus épaisse.
    
    Mais les muscles, eux ...
    ... aussi atteint en leur surface, sont d’une vigueur incroyable quand je les compare à ceux de Jean, genre ablette.
    
    Poisson que j’ai pêché sur les bords de Marne dans ma jeunesse lors d’un concourt du parti communiste.
    
    Ce fut la seule fois que papa a fait le concours de pêche de sa section, mais il y a bien longtemps.
    
    Rapidement il arrive au départ de ma vie avec maman et s’attarde plus que de raison ma chatte en feu.
    
    Il reprend son travail, millimètre par millimètre.
    
    Je vois le ciseau avancer jusqu’à me menacer de devenir borgne si par un hasard malencontreux le tissu cède d’un coup.
    
    Mais jusqu’à maintenant François a fait un sans faute sortant le papillon de sa chrysalide que constituait cette robe que, pourtant j’avais offerte, en la passant ce matin, à celui que je vais cocufier.
    
    Ma chatte, même recouverte, mon nombril puis mes seins, calmement reçoivent ses hommages.
    
    J’ai envie de lui hurler.
    
    « Oui, arrache ma culotte, prends-moi sauvagement, fait de moi une chienne, fait de moi ta chienne. »
    
    Mais ce sont les ciseaux qui finissent le travail par deux coups précis.
    
    Ma main saisit le gros bâton qui est à son maximum de tension et s’est moi qui le guide dans mon attente.
    
    • Doucement petite fille, profitez de ce moment unique pour vous les femmes dans votre vie et pour moi qui serai en vous une seule fois pour une seule nuit... 
«123»