1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1607)


    Datte: 06/08/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... mon sexe dégoulinant de cyprine. Mon dieu que c’était si bon ! Instinctivement, je fermais les yeux, et geignais comme une chienne en chaleur tant j’avais envie de lâcher un puissant orgasme, mais je n’étais pas autorisée à jouir…
    
    - Salope de femelle, tu as envie ? Parle, je t’y autorise, chienne …- Ouiiiii Maître, répondis-je… tandis que je trémoussais sans honte devenue une véritable femelle en rut…
    
    Je ne sais si je dois attribuer Son geste à de la bonté ou autre chose, mais le Châtelain remua si bien Ses longs doigts en les faisant manœuvrer par des va-et-vient réguliers et profonds, jusqu’au fond de mon vagin qu’à un moment donné, malgré mes liens, je réussis à me cambrer en poussant des cris jouissifs où je pus jouir sans retenue quand je sus que j’étais autorisée par un :
    
    - Alors, jouis, salope, maintenant, Je le veux, Ma femelle en rut !
    
    - Ahhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Ohhhhhhhhhh ! Ahhhhhhhh !
    
    J’hurlais comme une chienne de rue en rut, alors que Monsieur le Marquis poursuivait ses gestes, Son savant fistage au fond de ma chatte écartelée, grande ouverte, coulante de mouille en abondance, Ses doigts attrapant même mon col utérin, qu’il massait avec art tandis qu’il m’arrachait des beuglements de plaisirs bestiaux. J’avais la très nette sensation, avec Lui et les mots qu’Il venait de prononcer, « Ma femelle en rut ! », de devenir effectivement une femelle animale constamment en chaleur. Et j’en étais une, en ce moment précis, fière, très fière même ...
    ... ! Avec Ses tous petits va-et-vient très courts, lents et rotatifs de Son poignet entièrement entré dans mon sexe, avec Ses doigts énormes enfoncés jusqu’au fond de ma vulve, le Maître me travaillait comme jamais encore ma chatte ne l’avait été par une main… Un incroyable fist tellement grandiose ! Quand Il ressortit Ses doigts, je commis une faute, celle de parler sans y être autorisée avec juste un seul mot qui m’échappa :
    
    - Nonnn !, dis-je
    
    - Tu n’es pas autorisée à parler, la chienne, me répliqua-t-il en me giflant de Sa main libre… Mais … Tu en veux encore ma salope ? Alors, Je vais t’en donner, salope ! Tu vas voir...
    
    Le Maître écarta à nouveau mes genoux, dégageant une nouvelle fois ma chatte en fusion, proche d’éclater de mille plaisirs orgasmiques et Il représenta à nouveau Ses quatre doigts qu’Il enfonça une nouvelle fois en mon vagin tant dilaté. Les sentant s’enfoncer, je gloussais encore comme une dinde mais, arrivés en bas des quatre doigts, je sentais qu’il essayait d’y entrer de nouveau Son pouce aussi… Le Noble poussait Son poignet fortement et Ses poussées rouvraient très aisément, lentement et largement ma chatte de plus en plus… Cette sensation d’écartèlement me rendait folle d’envies nouvelles, me rendant encore plus bestiale, plus femelle, plus chienne encore... Lentement, je sentais Sa main rentrer de nouveau en moi, me dilatant totalement comme pour un accouchement !… J’en avais le souffle coupé, des myriades d’étoiles commençaient de s’allumer ...
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