Le Roy 07 En attendant le recruteur
Datte: 06/08/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
... goût de ce que me donnerait une fille, quand je serai marié.
On se caressait l'un l'autre, on se couvrait de baisers, ses lèvres était douces autant sur ma peau que sur mes lèvres. Lui il était plus entreprenant que moi, je lui tripotais bien un peu les couilles, il avait l'air d'aimer ça et je lui devais bien un peu d'attention, il me le rendait avec tellement de passion.
Il parcourait mon torse avec ses lèvres, sur les zones les plus sensibles, il me mordillait. Je découvrais mon corps, je découvrais que mordiller doucement mes tétons était très agréable, ça je le lui rendais. Il frémissait et tremblait, tout comme moi mais moi je bandais encore plus ferme quand il me le faisait.
Ensuite ses lèvres descendaient le long de mon corps, il arrivait à ma queue. Sa taille ne lui faisait pas peur, ni pour la prendre dans la bouche ni pour se la prendre dans le cul. Mais il aimait prendre son temps, et moi j'aimais ce temps long, j'aimais laisser monter le désir, il m'apprenait que le plaisir n'en était que plus intense.
Quand il prenait ma queue dans la bouche il y allait avec une infinie lenteur et une infinie douceur. Il commençait par me caresser le gland avec la langue. Puis je sentais ma queue s'enfoncer dans sa bouche, je retenais des cris.
Entre hommes, ça ne compte pas, vous le savez. Mais c'est pas une raison pour alerter toute la maisonnette. Les maisons se touchent et de fait les voisins ne sont pas loin. Bon, c'est vrai on ne peut pas garder un secret ...
... dans ce village.
Ma queue s'écrasait mollement contre le fond de sa gorge, je ne sais pas trop contre quoi mais c'était doux, mou, humide et chaud. Quand il relevait la tête c'était pour s'allonger sur moi, il me caressait alors avec son corps, avec la peau de tout son corps. Il était tellement doux, je le serrais dans mes bras, je le caressais, il en faisait de même et nos langues se caressaient avec passion.
Il replongeait, je bandais d'une manière incontrôlable. On l'avait un peu cherché remarqué. De nouveau je sentais ma queue massée, caressée avec science. Il était doué. Ce devait être son faux père qui le lui avait appris, il avait du commencer tôt, et c'est vrai aussi qu'il n'avait pas d'autres possibilités. Ça devait faire des années qu'il n'avait pas pu se masturber. Moi avant de le connaître je me masturbais au moins une fois par jour.
Quel âge avait-il quand son ancien patron lui avait mis cette cage ?
Il me caressait la queue quand il relevait le visage, il continuait juste à me titiller le bout de ma queue avec sa langue, je tremblais, je frémissais. Le matin on n'avait pas toujours le temps de bien développer, et souvent on se limitait à une fellation.
Il faisait monter le désir mais il savait aussi le faire durer ou l'écourter, et, avant de nous retrouver en retard il provoquait le plaisir, je ne sais pas comment il faisait, mais une caresse bien placée, sur la queue puis sur les couilles et un doigt bien placé juste sur mon cul et je jutais avec ...