L'INCONNU ET MAËLYS, DE L’AUTRE CÔTÉ DU MUR : Chapitre 4 : La dernière perversion - Histoires de Sexe

L'INCONNU ET MAËLYS, DE L’AUTRE CÔTÉ DU MUR : Chapitre 4 : La dernière perversion

... amygdales. Dans la seconde qui suivit, la jeune sportive réussit à lutter contre le déséquilibre et extirpa péniblement l'énorme calibre de Marc. Sa retraite fut accompagnée par d’épais filets de salive et, aussitôt que le gland de l’homme quitta les lèvres de Maëlys, elle se mit à tousser bruyamment.

Jamais une femme ne s'était autant donnée à lui. Marc adorait.

- « Hummmm » gémit-il suivie par un léger rire.

En bon pervers dominant, il en voulait bien plus.

- « Recommence. Empale bien cette jolie petite bouille sur ma grosse queue » lança-t-il.

Prudente, la jeune fille y retourna. Mais malgré sa vigilance, et pour le plus grand plaisir de l'homme, elle perdit encore l’équilibre et le sexe luisant de salive glissa rapidement entre ses lèvres avant d'atterrir contre ses amygdales, stoppant ainsi sa course déséquilibrée. Marc entendit une nouvelle fois de son sorti du fond de sa gorge retentir dans la pièce et constata, alors qu’elle maintenait le puissant phallus au fond de sa bouche l’espace d’une petite seconde, que jeune fille libéra une larme qui stationna dans le coin de son œil droit. Elle retira, toujours avec la même difficulté, l’énorme calibre et reprit une profonde respiration. La larme qui était accrochée se mit à ruisseler le long de sa joue alors qu’elle se déséquilibrait une nouvelle fois vers l’avant pour s’empaler sur l’énorme membre.

- « Bonne fille ! Continues, ne t’arrête pas » lança-t-il satisfait.

Toutes les cinq secondes, l'énorme ...

... membre de Marc venait violer l’accès à la gorge de la jeune étudiante et bousculer ses amygdales. Les bruits du fond de la gorge de la lolita s’alternaient avec ses inspirations profondes et aiguës. Marc prenait plaisir à sentir la salive chaude de sa jeune partenaire omniprésente sur sa large verge. Maëlys en avait de partout. La bave tout autour de sa bouche dégoulinait sur son menton et sur ses jolis seins ronds. Ses yeux n'arrêtaient pas de pleurer laissant sur ses joues les traces humides du passage des larmes. L'homme n'en pouvait plus, le plaisir qu'elle lui procurait parcourait tout son être. Il sentait son sexe dur comme jamais mais se retenait de jouir, voulant vraiment continuer d'abuser de cette jeune et jolie Barbie.

- « Oh purée que c’est bon ! » lança Marc sentant que le plaisir grimpait encore d'un cran.

- « Attends ! » l'arrêta-t-il.

La jeune fille s’arrêta net.

- « Gardes bien les mains dans le dos petite soumise » imposa-t-il avant d’ajouter :- « Tu me fais vraiment trop bander ma belle ! Regarde l’état de ma grosse queue. »Il ne se souvenait pas avoir vu son sexe aussi gros. Les veines qui parcouraient sa verge ressortaient et son gland était complètement décalotté tellement il bandait fort. Marc nota que le regard de la jeune fille se fixa sur l’énorme membre qui se dressait devant elle. L’imposant morceau de chair était recouvert de salive qui s’étirait doucement vers le sol sous l’effet de la gravité.

Le silence de ce moment d'observation ...