Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (1).
Datte: 04/08/2025,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... exhibitionniste !
Pour ma redécouverte de Rome, ma tenue, au cours de ces journées, fut de préférence, en fonction de la météo, baskets, tee-shirt, short ou jean serré, les shorts mettant en valeurs mes jambes, les jeans mes fesses. Philippe aurait bien voulu que nous nous reposions un peu. Pensait-il à une sieste crapuleuse ? Mon impatience fut la plus forte et mes désirs des ordres pour mon chéri. Je voulais démarrer au plus vite le programme qui avait été concocté pour moi.
Il passa donc un coup de téléphone pour que notre guide nous rejoigne au plus vite. Moins d’une heure plus tard, il nous attendait dans le hall de l’hôtel. J ai profité du délai pour remercier Philippe et le soulager, en le gratifiant d’une fellation, notre pratique préférée depuis que nous sommes en couple, une habitude quotidienne à laquelle nous n’avons que rarement dérogé.
Pendant que je m’activais entre ses cuisses, Philippe se montrait particulièrement résistant, m’obligeant à déployer tous mes talents de fellatrice. Il me traitait « d’adorable salope », évoquant les moments chauds qu’il attendait pour moi au cours de ce séjour, les mâles qui allaient m’honorer comme il se doit. Si j’étais parvenue à mon objectif en lui faisant lâcher dans ma gorge de puissantes giclées que j’avalais consciencieusement jusqu’à la dernière goutte, la conséquence était que j’étais particulièrement excitée lorsque nous avons eu un appel de la réception, annonçant l’arrivée de notre guide, Luigi.
Nous ...
... sommes donc descendus, main dans la main. Ma première surprise fut que Philippe le connaissait et que les deux hommes se tutoyaient :
• Salut, Luigi. Je suis heureux de faire ta connaissance autrement que par Skype. Je te présente Olga !
• Bonjour Philippe. Bienvenue à Rome, mes amis ! J’avais bien sûr reconnu Olga, elle est encore plus belle que sur les photos que tu m’as envoyées.
• Alors comme ça, dis-je à Philippe, ne cachant pas mon irritation, tu envoies des photos de moi sans même m’en parler !
• Nous avons beaucoup parlé de toi. Luigi voulait te connaître. Il était enthousiaste au sujet de mes propositions.
Je tendis la main à Luigi :
• Buongiono signore!
Au lieu de serrer ma main, il la porta à ses lèvres et y déposa un baisemain !
• Buongiorno Signora. Come state ? Sei ancora più bella di quanto immaginassi! (“Bonjour Madame. Comment allez vous ? Vous êtes encore plus belle que je ne l'imaginais!”)
Il y eut alors un blanc. Luigi ne lâchait pas ma main et nous nous fixions. Qu’il était beau ! Assurément, il avait moins de trente ans, il mesurait 1M90, des épaules larges, des yeux noirs profonds, un visage aux traits fins et réguliers. Une barbe de deux jours soigneusement affichée. La façon dont il me regardait, ou plutôt me déshabiller du regard, me fit frissonner. Je compris que j’avais affaire à un mâle, à un chasseur et qu’il me voulait. En baissant les yeux, j’ai vu que son pantalon de toile ne cachait pas une formidable érection. Je ...