(76) : Mon appétit sexuel insatiable, et mon grand nombre de partenaires qui me permettent d’assouvi
Datte: 03/08/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Plaisirsexbi, Source: Hds
... une étape essentielle de ma vie sexuelle. La bonne rencontre, celle qui m’a permis de mieux me connaître et de m’ouvrir à des jeux d’adultes. Par plaisir. Ce n’est pas plus compliqué que ça. Une fois que j’ai su dépasser les normes et les tabous de la société, j’ai pu vivre pleinement ma vie sexuelle. Je ne suis pas prisonnière de mes envies, mais au contraire totalement libre de m’épanouir.
J’avais des amants réguliers et des amants occasionnels en semaine que ce soit avec Antoine ou avec Laurent.
J’étais, je suis toujours disponible et même insatiable…Et tu le sais mon petit amour.
Question d’Éric : Es-tu déjà tombée amoureuse d'un homme que tu as dû quitter à cause de ta « pathologie » ?
Caroline : Et oui, Antoine, mon premier petit ami, celui par qui tout est arrivé, m'a quittée à cause de ça. Et puis Laurent aussi…Puis ensuite j’ai enchainé les mariages et mes trois premiers maris n’ont pas supportés mes nombreuses infidélités.
Mais il y a vingt ans, au cours d'une soirée durant laquelle j'avais deux amants en même temps, mon amie Muriel, qui souhaitait que je me calme enfin à quarante-quatre ans, m’a inscrite sur un site de rencontre pour « jouer ».
L'un des prétendants sur le site m'a attirée beaucoup plus que sexuellement. Et, par bonheur, il a ressenti la même chose que moi.
Depuis, nous ne nous sommes jamais quittés. Il est le seul homme de ma vie qui m'ait dit qu'il m'aimait comme j'étais, que je ne devais rien changer. Depuis, nous filons le ...
... parfait amour et je ne l'ai jamais trompé sentimentalement, tout en gardant une totale liberté sexuelle qui ne le dérange absolument pas. Et cet homme tu le connais mon amour…Question d’Éric : Cherches-tu un peu d'affection derrière ces relations d'un soir et même dans les relations plus suivies ?
Caroline : Non, je ne cherche que du sexe, de la jouissance. Et rien d'autre, puisque je suis réellement comblée côté cœur, avec l'homme de ma vie, mon amour, et là, je pense que je vais décevoir mon beau Max. Même si la relation avec lui, je dois dire est un peu particulière.
Question d’Éric : Hypersexualité et souffrance : Ressens-tu de la culpabilité ou les autres sont-ils tes seuls juges ?
Caroline : Je ne culpabilise aucunement pour ma personne mais, longtemps, le regard et les réflexions des autres m'ont énormément gênée.
Question d’Éric : As-tu subi moqueries et jalousies ?
Caroline : Des moqueries, très peu. Des jalousies, plus qu'il n'en faut. Principalement de la part des femmes, qu'elles soient mariées…Par peur que je leur vole leurs maris ou célibataires par crainte que ses messieurs ne tournent qu'autour de moi.
Question d’Éric : Caches-tu où as-tu caché ton hypersexualité à ton entourage ?
Caroline : Ma famille n'est pas précisément au courant de ma « pathologie ». Pour moi, dans mon corps, il ne s’agit pas d’une pathologie. Mais j’ai une sexualité très active, très libérée, très libre, peut-être à la limite de la nymphomanie oui, du moins dans ma ...