1. Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 14


    Datte: 02/08/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 14
    
    Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil.
    
    Après une douche pour me nettoyer des relents de notre copulation, je reviens dans la chambre. Arthur est étendu sur le dos et somnole. Il a les jambes écartées et sa verge enfin au repos repose délicatement sur ses bourses. Je réalise que c’est la première fois que je la voie dans cette configuration et que même au repos, elle est plus imposante que celle de son père en érection.
    
    Suite :Je m’assois sur le lit en tailleur entre ses jambes. Une envie folle me tenaille, j’ai envie de sentir, ou plutôt de toucher son pénis endormi avec mes pieds. Je pose mes pieds autour de son sexe et commence très délicatement un massage. C’est la première fois que je fais ça, un vieux fantasme… Je continue mon petit jeu, masturbant entre mes pieds son sexe, n’en attendant pas plus que le plaisir que je me donne. Mais j’ai encore sous-estimé la virilité et la résistance de mon beau-fils. La chose flétrie prend de nouveau de la consistance, grossit entre mes petons, se redresse doucement. Je ne sais pas s’il est réveillé ou fait semblant, mais après quelques minutes de ce traitement, je dois serrer mes abdos pour lever mes jambes et que mes pieds puissent branler la totalité de cette poutre, du gland aux couilles. Je n’y tiens plus et me ...
    ... rapproche de lui pour que mes deux mains prennent la relève. C’est plus agréable et surtout moins fatiguant pour moi. Mes mains descendent sur son sexe en pleine érection pour la troisième fois de la soirée. Rien que de le « câliner » de cette façon me fait déjà remouiller, je suis une vraie salope.
    
    Mon visage est entre ses cuisses, tout près de son énorme braquemart. Je l’observe, le détaille, le caresse, le branle doucement. Ma main n’en fait toujours pas le tour. Mes deux mains serrées sur son jonc l’une sur l’autre ne la couvrent pas sur toute la longueur, le gland et quelques centimètres dépassent encore. C’est impressionnant. J’ai envie de sa queue comme on a envie d’une glace délicieuse qu’on s’apprête à lécher avant de croquer dedans à pleines dents. Ma gourmandise est patente et je ne peux plus résister. Je passe ma langue tout doucement autour du gland, lèche la hampe et lui malaxe les couilles.
    
    J’ai oublié toute réserve de prudence et m’active comme une folle. J’astique la bête, en fait le tour avec ma langue, en mordille le gland puis le glisse dans ma bouche et l’introduit doucement. Ça rentre tout juste, je constate. Je le ressors, y retourne, le ressort encore, le branle. Enfin j’ai le gland et une partie de la colonne de chair, mais il n’entrera pas grand-chose de plus, c’est impossible.
    
    -Tu as encore faim, « maman » ? Les amuses-bouche et la saucisse de Morteau ne t’ont pas rassasiée ? Tu veux une bonne dose de crème comme dessert ?
    
    Je ne peux lui ...
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