1. La maison d'hôtes 04 Le cadeau PK


    Datte: 02/08/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    ... confinée avec douceur. Ils nous garantissaient que c'était sans douleur. Et comme j'étais toujours excité je me suis branlé … Et re-hop !
    
    Il était deux heures du matin, toujours assis à poil sur mon lit. Je me documentais sur les tailles et comment faire les mesures. On nous garantissait que c'était confortable. Je croyais ressentir ce confort, ce confinement à la fois doux et confortable. Et, devinez, je bandais toujours aussi je me suis branlé … Et hop, encore hop.
    
    Il était trois heures du matin, je regardais des photos, il y en avait des photos. Il y avait plein se sites, plein de témoignages et je continuais à me branler … Remarquez là je commençais à avoir un peu moins de conviction. Mais il faut savoir faire des efforts.
    
    Il était six heures du matin, ça ne faisait pas longtemps que je dormais, et c'est le coq qui me réveillait. Salle bête, je vais lui faire goûter de la sauce au vin s'il continue celui-là ! Je ne vous dis pas j'ai fait un bond. J'étais toujours assis en tailleur sur mon lit, toujours à poil, j'étais seulement tombé en arrière.
    
    J'étais fatigué, j'avais bien dormi mais pas bien longtemps et là je ne bandais pas. Mais finalement je me suis branlé quand même …
    
    J'entendais mon père qui m'appelait. Je lui répondais et me précipitais sous la douche. J'en ressortais quelques instants plus tard, je ne bandais toujours pas mais je m'étais branlé. Enfin il faut me comprendre, quand je dis je ne bandais pas, ça veut seulement dire que je ne bandais ...
    ... pas d'une manière incontrôlable, mais si je me tripotais je bandais rapidement. À mon âge, ça vient tout seul …
    
    Je descendais les escalier quatre par quatre et arrivé en bas je me souvenais qu'il fallait que j'ai un air résigné.
    
    – Bien tu m'accompagnes, ce matin, tu sais ou on va ?
    
    – Oui papa ! Je gardais la tête basse.
    
    – Tu n'as rien à rajouter pour …– Non papa !
    
    – Tu acceptes la situation ? Tu sais que si tu refuses formellement ils n'accepteront pas de t'équiper ?
    
    – Oui papa !
    
    – Mais tu sais aussi que dans ce cas la ta mère et moi envisagerions … – Oui papa !
    
    Vous remarquerez que ce jour là, je n'étais pas contrariant. C'était déjà ça. On prenait la voiture. Avec mon père on discutait, je lui demandais s'il en avait porté un lui.
    
    – Eh oui Hugo, j'en ai porté un pendant cinq ans. Tu verras c'est très stimulant pour tes études, mais pas que.
    
    Je le regardais sans trop y croire. Il avait porté ce genre de truc. C'était pas la peine de gémir en demandant pitié, il connaissait. Mais comme j'avais aussi envie d'y goûter il n'y avait pas de problème. Je me contentais de cacher mon enthousiasme, et lui posais plein de questions.
    
    Arrivé à destination.
    
    – Bon ça ira Hugo ?
    
    – Oui papa !
    
    – Tu ne vas pas me faire un caprice au dernier moment ?
    
    – Non papa !
    
    – Tu t'es documenté tu m'as dit, tu as un modèle préféré ?
    
    – Oui le confort ultra avec boucliers mais j'aime bien aussi le modèle céramique il est joli aussi mais n'est pas vraiment ...