Le grand Remplacement
Datte: 02/08/2025,
Catégories:
ff,
hhh,
uniforme,
fdomine,
hsodo,
exercice,
portrait,
délire,
sf,
Humour
Auteur: Jimmychou, Source: Revebebe
... beaucoup d’autres, je m’interrogeais sur le sens de notre quête, même si j’avais bien conscience que l’ennemi ne faisait pas de prisonniers et que mon existence ne tenait que par mon engagement auprès de mes congénères.
Hormis les séances obligatoires de sodomie, et ma fonction essentielle à la troupe, j’avais une autonomie d’action non négligeable, étant notamment dispensé des gardes et de la plupart des entraînements au combat.
Il était évident pour tous mes camarades, officiers compris, que le jour où il faudrait envoyer au front les cuisiniers et les infirmiers, la défaite finale serait imminente, scellant par là même l’extinction définitive de notre population.
La quarantaine bien avancée, je me demandais si j’assisterais moi-même à cette fin irrémédiable et je ne pouvais m’empêcher de penser régulièrement à Yolande, celle qui fut très brièvement ma femme, avant que ne débute le grand conflit qui obligea tout un chacun à choisir son camp et à rejoindre définitivement une armée.
Je n’avais pas encore fêté mes trente ans lorsque les Amazones décrétèrent la mobilisation générale.
Certains membres des communautés LGBTQ+ crurent au discours lénifiant des nouvelles dirigeantes leur enjoignant de rallier le groupe dont iels se sentaient le plus proches, mais iels furent vite confrontés à la réalité de leur anatomie. Les Amazones les mirent rapidement face à un choix binaire. Accepter de se faire couper la queue sous peine de se faire couper la tête.
Pas de ...
... bite chez nous ! Tel fut le mot d’ordre fédérateur dans l’empire des Amazones une fois la guerre des sexes déclarée.
Rares furent les traîtresses à rallier les rangs de la Phallussie naissante, à l’aube de ce conflit planétaire. Hormis quelques jeunes nymphomanes, inscrites pour la plupart sur des sites d’histoires érotiques, les autres ne pouvaient ignorer que ce choix allait faire d’elles de vulgaires putes de maison d’abattage tout juste bonnes à servir de vide-couilles à des régiments de mâles en rut dénués de la moindre once de pitié à leur égard.
++++@@@@@++++
Bien sûr, une fois le conflit amorcé, il fallut gérer le cas des enfants de sexe masculin. Quelle mère aurait pu accepter que l’on mutile ou élimine son garçon au nom de la revanche légitime des femmes sur les oppresseurs mâles ! Les premières guerrières, bien entendu dépourvues de descendance, durent composer avec ce sentiment, certes exaspérant pour elles, mais néanmoins inscrit dans les gènes maternels depuis l’apparition de la sexuation.
De nombreux conciliabules furent nécessaires avant qu’une décision, évidemment insatisfaisante pour la majorité, soit adoptée tant bien que mal par le conseil des Sagettes.
Les jeunes mâles furent assignés à résidence chez leur génitrice jusqu’à leurs seize ans, date à laquelle ils allaient devoir faire face à un choix cornélien : rejoindre le camp des hommes ou accepter, bon gré mal gré, d’être privés de leurs attributs virils qui finiraient en nourriture pour les ...