1. Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 18


    Datte: 01/08/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... appuie sur le sphincter de Virginie d’abord. Surprise, elle contracte les muscles de son popotin mais ne peut rien faire d’autre, toujours tenue par sa mère.
    
    Je profite de cette avantage et force le passage, m’aidant de mes mains posées sur ses hanches. Elle grogne, ce mordant la lèvre inférieure mais subit le supplice du pal. Mon gland vient de franchir la porte étroite de son anus et regonfle aussitôt après. Je suis coincé comme un chien sautant une femelle et dont le maitre voudrait interrompre le coït. J’attends un moment qu’elle se détende un peu et dès que la « souricière » se relâche, je propulse la totalité de mon chibre dans ses boyaux, dans son cul.
    
    -Ah putain Arthur ! Tu me casses le cul avec ton nœud ! Je n’ai pas été habituée à pareil calibre de ce côté-là ! Humpf, humpf ! Vas-y doucement, bordel !
    
    Elle geint, secouant la tête de droite à gauche pendant que je m’active maintenant comme un cosaque, lui enfilant dans le conduit mon dard plus gros qu’un manche de pioche. Mais je quitte ce trou accueillant pour m’occuper de celui de ma sœur qui n’en mène pas large.
    
    -Vas-y doucement quand même Arthur. Mon trou du cul est aussi serré que le fond de ma gorge.
    
    Elle est toujours tenue par ma belle-mère Cécile, je saisis ses jambes et les pose sur mes épaules, lui pince le bout des seins pareils à de beaux fruits laiteux, gonflés de ...
    ... suc. Mon gland bute sur son œillet fripé et ripe en essayant de bouter ses chairs. Serviable, ma tante prend à pleine main ma hampe et la dirige à l’endroit souhaité. Maelys me regarde, attendant avec appréhension l’entrée triomphante dans son anus de mon soc. Elle serre inconsciemment les muscles de son sphincter mais ma queue ne peut plier tellement elle est gorgée de sang. Je pose mes mains sur le haut de ses cuisses pour avoir un point d’appui et avance mon bassin. J’arrive avec difficulté à faire pénétrer mon gland qui se vide de son sang sous l’effort pour s’insinuer dans ce trou de souris, puis une fois de l’autre coté reprend ses dimensions sous les hurlements de Maelys.
    
    -Aïe ! Arrête ! T’es trop gros ! Arrête putain ça fait trop mal !
    
    -Et qu’est-ce que je devrais dire, je la coupe. T’es si serré du cul qu’on dirait que tu vas guillotiner ma teub !
    
    J’attends quand même une trentaine de secondes jusqu’à ce que je sente le piège se relâcher un peu et profite de cette minuscule fenêtre de temps pour planter mon défonce-cul dans le soubassement de ma sœurette sous ses hurlements de truie qu’on égorge.
    
    -Oh putain ! Oh putain ! OOOOHHHHoooohhhh ! Il m’encule ! Il m’encule !
    
    A suivre…¬ J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos like pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes. 
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