1. COLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse, la femme. Ricardo l’Italien (1/1)


    Datte: 01/08/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... mais dans ma tête, je rendais service à mon couple.
    
    Il m’a tout fait, levrette et une grande partie du kama.
    
    Au réveil, en guise de bonjour, on a recommencé, Ricardo était insatiable, une vraie bête de sexe.
    
    Était-ce mon âge qui l’excitait ou sa queue qui cherchait toujours sa proie suivante pour la laisser défoncée comme moi je l’ai été.
    
    Il a commandé un petit déjeuner copieux que j’ai dévoré.
    
    Baiser ça m’a toujours donné faim, lorsque je me regarde, toujours aussi fine, le nombre de fois ou j’ai baisé, j’aurais dû finir obèse.
    
    Ensuite, il m'a accompagnée rejoindre ma famille.
    
    J’étais avec ma mère, ma sœur aînée qui comme moi aimait les hommes mûrs.
    
    Elle était avec son copain de 40 ans.
    
    Je me suis changée sous le regard noir de ma mère, j’ai bien senti que c’est par dépit que ce bel étalon lui ait échappé, surtout enlevé par sa propre fille.
    
    Il m'a invitée au restaurant et de retour dans sa chambre je me suis empressé de lui faire une fellation.
    
    C’est au bout de cinq jours que Ricardo m'a sodomisée, il a fait ça en douceur.
    
    C’est moi qui l’ai placé sur mon œillet au cours de la nuit.
    
    Il m’en a été reconnaissant, j’étais la première qu’il prenait comme un garçon.
    
    Je l’ai asticoté sur d’éventuels moments avec des hommes, ses réponses étaient évasives, il devait être à voile et à vapeur, en un mot bi.
    
    J’ai joui en me caressant le clito et en me disant, je suis en train de me faire enculer.
    
    J'ai une bite dans le cul.
    
    J’étais ...
    ... prête à tout pour baiser avec mon bel italien.
    
    Pour éviter d’avoir mes règles, au lieu d'arrêter la pilule une semaine, j'ai commencé la plaquette suivante dans la foulée.
    
    Grâce à ça, il a pu me baiser environ trois fois par jour.
    
    J'étais bien avec lui, il m'amenait dans des lieux extra et me faisait merveilleusement bien l'amour.
    
    Hélas, tout à une fin et j’étais déchirée quand nous sommes reparties.
    
    La dernière soirée a été féérique, soirée à Nice, restaurant sur la promenade des Anglais dans un des plus grands palaces de cette ville.
    
    Je pensais que nous allions rentrer à son hôtel à Cannes, mais c’est le casino qui a eu notre visite.
    
    Il fallait être majeur, mais j’ai compris que Ricardo connaissait du monde, car je suis entrée sans le moindre soucis.
    
    J’avais mis un short ras ma chatte avec un débardeur mettant mes seins en valeur surtout que mes seins sans soutien mettaient mes pointes en avant.
    
    J’ai toujours aimé allumer les vieux, là j’étais à la fête, ce qui faisait bander mes fraises.
    
    Mon amant, hélas, bientôt séparé m’a installé à une roulette avec des jetons.
    
    J’ai vite compris le jeu et est-ce le fait que je faisais cocu mon homme parisien, mais j’ai gagné plusieurs fois.
    
    Très vite, j’ai doublé ma mise, mais ce que j’ai le plus aimé c’est de placer les jetons sur la table avant que le croupier dise.
    
    « Rien ne va plus. »
    
    Rien oui, pour les messieurs placés face à moi qui voyais mes seins plus que de façon raisonnable.
    
    Le mot ...