COLLECTION FANTASME. J’ai fantasmé sur la sodomie (1/2)
Datte: 01/08/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... bal du 14 Juillet.
Avant de la dépuceler, c’est sa mère que j’ai sautée dans la salle du conseil.
Georgette faisant office de secrétaire de mairie bénévole notre commune était officiellement pauvre alors que les paysans de notre région sont appelés, les ventres jaunes.
Lorsqu’ils allaient au marché aux poulets de Louhans où Bourg-en-Bresse, ils avaient autour de leur taille une ceinture ou ils cachaient leurs Louis d’or.
Un jour maman m’a demandé d’aller chercher un certificat de naissance, je suis arrivé à vélo.
De loin, j’ai vu Georgette ouvrir la porte de la mairie, je suis entrée dans le secrétariat, elle brillait par son absence.
Je l’ai appelé, elle m’a demandé de monter à l’étage, ou se trouvait la grande table du conseil.
C’était la première fois que j’y entrais.
Elle avait une robe boutonnée sur le devant, qui me montrait une belle partie de ses seins, moins avenant que ceux de Berthe, mais semblants fort jolis.
Je passe le début de la conversation, jusqu’au moment où elle a lâché la boîte de trombones qu’elle avait en main.
Elle était en train de classer des papiers pour le conseil qui se tenait le soir.
Nous étions à quatre pattes et nous avions presque terminé le ramassage quand mon regard s’est porté sur le décolleté que la robe me présentait.
Je voyais l’intégralité d’un de ses seins et la moitié de l’autre.
Je me suis mis à bander comme un fou, inutile de dire que je me suis retrouvé très couillon quand il s’est agi de ...
... me relever.
Les choses se sont faites naturellement comme dans un rêve, différemment qu’avec Berthe qui a cette époque était la seule femme que j’avais baisée.
Avec elle, on venait à la quincaillerie, quand elle voyait nos joues toutes rouges, elle savait ce que nous étions venus chercher.
Elle fermait la boutique et pendant que son mari était dans la cuisine dans l’impossibilité de bouger après son attaque, elle nous dépucelait dans la salle à manger.
Pour Georgette, c’est un mouvement mutuel qui nous a animés, elle a vu ou portait mon regard et que j’hésitais à me relever.
Elle m’a aidé et m’a elle-même embrassé, je baisais Berthe sur la table de sa cuisine, il en fut de même avec Georgette sur celle du conseil.
La salope, j’ai appris plus tard au café du village en écoutant les anciens que la place où je l’avais baisé était la place où le maire s’asseyait pour officier.
Plus spécifiquement sur le sous-main avec un grand buvard qui est resté marqué de plusieurs gouttes de cyprine sortie de sa chatte poilue.
En courant ce matin ayant fait le tour à gauche vers le centre du village, je décide de partir à droite vers des fermes isolées, comme celles de maman.
Pour autant, sans être au fin fond de la commune.
De loin, je remarque une femme courbée sur son sarcloir, me rapprochant, je vois que ce sont des patates qu’elle butte.
M’entendant, elle se redresse, me regarde et éclate de rire.
• Christophe, je savais que tu étais là, mon mari me l’a ...