Élisabeth, Paul, Jean
Datte: 01/08/2025,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
copains,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
aventure,
rencontre,
Auteur: Patkik, Source: Revebebe
1942, voilà deux ans que Paris est occupé, le claquement des bottes allemandes sur le pavé rend le peuple parisien maussade, désespéré. Paul et Jean tous les deux étudiants en droit sont meurtris par la présence ennemie dans la capitale, ils ne supportent plus les mesures attentatoires à la liberté, secrètement ils sont décidés de rentrer en rébellion.
Paul est un garçon vif d’esprit avec des facultés intellectuelles au-dessus de la moyenne ; en plus pour couronner le tout, c’est un beau jeune homme de dix-neuf ans, mesurant dans les 1,75 m, cheveux châtains, yeux marrons, un sourire ravageur. Son succès auprès des filles est indéniable même si cela reste très platonique. D’ailleurs, impatient pour se déniaiser, il a été jusqu’à aller voir une femme d’expérience, une prostituée de la rue Saint-Denis ; lui, fils de parents médecins demeurant dans les beaux quartiers de Paris, comment a-t-il pu s’encanailler de la sorte ? Il n’en garde pas un souvenir impérissable…
Jean, lui, est différent, fils d’un père ouvrier et d’une mère cantinière, tout aussi brillant que son ami, sauf qu’il a plus de difficultés, obligé de fournir des efforts conséquents pour étudier. Grand physiquement dépassant le 1,80 m, un corps d’athlète, il a ce que l’on appelle une « gueule » visage carré, yeux bleus, cheveux blonds cendrés plutôt longs pour l’époque ; son pote ironiquement lui dit toujours qu’il a la tête d’un truand, mais cela fait partie de son charme, ayant tout autant de succès ...
... auprès des demoiselles.
Les études sont passées au second plan, leur seule motivation : pouvoir rejoindre la résistance. En attendant de trouver des contacts, ils multiplient des incivilités comme crever les pneus des voitures allemandes, détériorer le transformateur électrique qui alimente la kommandantur. L’ambition est de passer à la vitesse supérieure, grâce à la complicité d’un étudiant en chimie, ils ont appris la fabrication d’une sorte de bombe incendiaire artisanale. En se promenant dans le Quartier latin, une traction de la Gestapo se garait journellement chaque midi devant le même restaurant, d’un commun accord ils décident d’en faire leur prochaine cible.
Jour J, coup de chance il y a peu de monde dans la rue, la voiture est bien là, en plus une des vitres est à moitié baissée. Stressés, ils s’approchent, Jean sort la bombe incendiaire de son sac, mais juste au moment où il veut la jeter dans la traction, des hurlements en allemand se font entendre, une patrouille passait par là à cet instant précis. Ils se sauvent, des coups de feu éclatent, les balles sifflent autour d’eux, les gens hurlent, se jettent au sol. Paul et Jean, en panique, courent comme des dératés, se faufilant dans les petites rues, tombent sur une porte cochère entrouverte, les deux fugitifs s’y engouffrent, une cour intérieure, au fond un escalier qui descend dans une cave, c’est la planque idéale.
Voilà des heures qu’ils sont dans le noir total, apeurés, assoiffés, ils tendent l’oreille,a ...