4018 n°4
Datte: 30/07/2025,
Catégories:
bizarre,
Partouze / Groupe
délire,
Humour
sf,
Auteur: Melle Mélina, Source: Revebebe
Résumé de l’épisode 3 :
— Ouvrez ! Au nom de la loi, ouvrez ! C’est le FBI !
On ne rigole pas avec le FBI, ils ont pour réputation d’avoir la gâchette facile…
Le FBI ? Flics Belliqueux Irascibles. Le genre de keuf qui frappe en premier puis discute une fois la victime massacrée.
Vous êtes à poil, vous voulez vous habiller mais de nouveau, ça cogne à la porte. Vous ouvrez après la deuxième sommation et c’est avec une verge au firmament que vous accueillez cinq policiers accompagnés du Mariatchi au crâne défoncé par Juliette d’Hazebrouck !
Le Mariatchi ne peut s’empêcher de zieuter votre vit et de se pourlécher les babines. Serait-il homo ?
Telle est la question rhétorique qui se pose devant vous. Et vous qui n’êtes pas très rhétorique ! Vous regrettez maintenant de ne pas avoir écouté votre père qui était prof de rhétorique à la Sorbonne, une grande école de rhétorique sur la planète Arcassam.
— C’est elle, hurle le Mariatchi au crâne défoncé en pointant du doigt Juliette d’Hazebrouck aux policiers.
C’est drôlement impoli de montrer du doigt quelqu’un mais c’est terriblement efficace, il n’y a plus le moindre doute dans l’esprit des policiers, ils ne risquent pas de la confondre avec quelqu’un d’autre !
— FBI ! Levez les mains en l’air, au nom de la loi !
Comme Juliette d’Hazebrouck s’exécute, le FBI se contente de lui mettre des menottes sans atteinte à son intégrité physique, ce qui est une chance incroyable.
— Attendez ! intervenez-vous ! ...
... De quoi accuse-t-on Juliette d’Hazebrouck ?
Et là, ce sale con de Mariatchi, qui reste toujours scotché par votre membre turgescent, impute la blessure béante de son crâne à votre belle.
Voyant Juliette d’Hazebrouck les menottes aux poignets(qu’elle a fins, ceci dit en passant), vous tentez la négociation. Pas facile avec le FBI, pas facile…
— Attendez, attendez, il y a bien un moyen de s’arranger, non ?
Et tout en disant cela, vous les aguichez du regard le plus coquin que vous ayez en magasin, ce genre de regard plein de sous-entendus mais qui ne laisse plus rien sous-entendre…
Le Mariatchi mord à l’hameçon et s’il retire sa plainte, le FBI nous laissera en paix. C’est donc avec lui que vous négociez. Une partie de jambes en l’air contre la liberté, vous êtes gagnants…
Mais le FBI qui se sent exclu de la discussion vous rappelle qu’il ne se déplace jamais pour rien !
Le chef du FBI, l’inspecteur Colombus(Christophe de son prénom) vient vers vous et dit :
— Comme ma femme me dit toujours… Il faut savoir profiter des opportunités… Alors nous consentons à vous laisser libre si…
Si quoi ?
Le suspense est à son paroxysme.
Mais vous suivrez la suite de ce passionnant chapitre après une page de pub.
— Si nous pouvons abuser de vos corps ! finit par avouer le lieutenant Colombus(Christophe de son prénom).
Alors OK, top là, le deal est conclu sauf que le FBI est très BDSM, menottes et tout le toutim.
Le Lieutenant Colombus(Christophe de son ...