Friche industrielle 01
Datte: 29/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
... s'écrasait contre ses fesses.
J'étais pétrifié par le spectacle, fasciné, je ne pouvais plus bouger, je n'en avais pas vraiment envie. Ils étaient trop occupés pour me remarquer et ne m'avaient pas vu. Je sentais ma queue qui manifestait, elle tentait de se redresser, et poussait fort contre les barreaux de sa cage.
Je l'avais mise en cage pour découvrir de nouvelles sensations, c'était efficace et je sentais que cette journée serait riche en nouvelles sensations. Je glissais ma main dans mon pantalon et réajustais mon dispositif de chasteté en tirant sur la peau. La pression montait et ce n'était pas vraiment confortables.
Le grand blond gardait sa queue garée bien à fond dans le cul de son partenaire, il appuyait fort, se penchait sur son camarade et le prenait dans ses bras. Ils s'embrassaient passionnément, se serraient l'un contre l'autre, le brun refermait ses jambes dans le dos de son camarade blond et le retenait avec force.
Ils râlaient tous les deux maintenant.
C'est dans un moment comme celui-ci que je regrettais d'avoir mis ma queue en cage, je vous jure, là je me tripotais les couilles et je me serais bien branlé. Oh oui, je me serais bien branlé, comme un fou.
Doucement le mec blond se retirait, sa queue sortait complètement du cul de son ami qui semblait retrouver son souffle. Elle était grosse, je me suis pris plus gros dans le cul mais ça ne veut pas dire que c'était facilement. Elle était grosse, longue et bien droite. C'est sans prévenir ...
... qu'il la repoussait dans le cul de son amant, il la poussait avec force, d'un mouvement rapide, sans prévenir.
Le brun la recevait en gueulant mais sans pour autant essayer de se dégager. Puis les coups reprenaient, de nouveau mais peut être avec encore plus de force qu'au moment ou j'étais arrivé, ou alors c'était une impression. Les coups étaient également plus rapides. Le grand blond avait un visage concentré, il était décidé. Son camarade faisait une grimace et regardait un peu partout autour de lui. Il grimaçait, il gueulait, il hurlait même et ses cris résonnaient, ce n'était plus des murmures.
C'est là qu'il m'a vu.
Il n'a pas bronché, j'étais tétanisé. J'avais la main dans mon pantalon et je me tripotais les couilles. Je n'étais pas à mon aise, ça tirait, ma queue était en pleine révolte. Le brun me regardait, son regard n'était pas menaçant, je n'avais pas envie de fuir. J'avais juste envie de me branler, à la rigueur de prendre sa place. Je ne bougeais pas.
Les coups devenaient à la fois violents et rapides, c'étaient les deux qui maintenant râlaient, aucun des deux ne voulaient lâcher et si un des deux attendait que l'autre demande grâce pour arrêter, ça semblait sans espoir. Ils étaient tous les deux bien décidés.
Il jouissait, le brun, il jouissait, les cris qu'ils poussaient étaient des cris de plaisir. J'en ai poussé moi aussi dans une telle situation. J'avais vraiment envie de prendre sa place. D’où j'étais je ne pouvais pas voir s'il bandait. Il ...