1. Damia? Vous avez dit Damia... 03


    Datte: 29/07/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byANDRERP95, Source: Literotica

    ... une fantasia.
    
    Nous avions assisté à l'une d'elle. Le spectacle se déroulait à la tombée de la nuit et il y avait un monde fou autour de la petite place avec une majorité de touristes. Le centre de la place était cerclé de torches qui s'ouvraient pour délimiter un passage au milieu de la rue principale. C'est par là que devaient arriver au grand galop, les cavaliers. Les torches étaient le seul éclairage de la petite ville et tous les autres quartiers étaient plongés dans le noir.
    
    On entendait des cris et des coups de fusil au loin. Sylvie et moi étions côte à côte. Derrière nous Mourad et Khaled nous racontaient ce qui allait se passer.
    
    - Regardez, ils vont venir de la rue.
    
    La pression des spectateurs agglutinés contre et autour de nous, m'a séparé de Sylvie et très vite, je ne voyais plus que sa chevelure à cinq mètres devant moi. Mourad avait réussi à rester à côté d'elle. Khaled lui, était plaqué contre mon dos. Le spectacle allait commencer dans une dizaine de minutes. Il faisait très chaud et nous étions tous serrés les uns contre les autres.
    
    Pour faire plaisir à Sylvie, j'avais accepté de mettre un large pantalon bouffant de couleur blanche. C'était un vêtement local que Sylvie m'avait offert. Le tissu était si fin qu'il en devenait transparent si je passais dans la clarté. Je me sentais ridicule dans cet accoutrement et c'est Mourad et Khaled qui se sont joints à Sylvie pour me convaincre de sortir ainsi vêtu.
    
    Brusquement, sous un tonnerre roulant ...
    ... d'applaudissements et de cris, une douzaine de cavaliers ont déboulé à cheval pour occuper le centre de la place à grand renfort de coup de feu tirés vers le ciel, et le spectacle a débuté. Nous étions de plus en plus serrés les uns contre les autres, tassés comme des sardines, à tendre le cou pour voir quelque chose.
    
    Moi, je n'ai rien pu voir, car dès l'arrivée des cavaliers, Khaled m'a saisi par les hanches, et a pressé son bas ventre contre mes fesses.
    
    J'ai sursauté. Il osait faire cela au milieu de cette foule compacte. Il m'était impossible de me dérober à ses avances. Très inquiet, je ne cessais de regarder autour de nous. Personne ne semblait faire attention à ce que me faisait Khaled.
    
    Brusquement en tournant la tête à plusieurs reprise, je me suis rendu compte que j'étais le seul touriste au milieu des autochtones. Nous étions encerclés par des arabes. Aucun touriste en contact direct. Les premiers, étaient pratiquement à trois ou quatre rangs devant nous. J'étais le seul étranger au milieu d'une marée compacte de tunisiens mâles, et Khaled me pressait de plus en plus fort contre son bassin en parlant en arabe aux deux coreligionnaires les plus proches qui ont rigolé en me jetant un coup d'œil.
    
    - Chez nous, il n'y a que les courtisanes qui portent ce genre de pantalon. Les putes quoi. C'est pour cela que j'ai dit à Sylvie de te l'offrir. Elle en voulait un aussi. Mais, je l'en ai dissuadée.
    
    - D'un mouvement de tête, il m'a montré les deux arabes.
    
    - Eux ...
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