Annie
Datte: 26/07/2025,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... sublime. Mahoko a également une peau magnifique, d’un blanc pur, sans la moindre marque ; elle évite toute exposition au soleil. Au contraire, Annie possède une peau mate et uniformément bronzée, sans la moindre marque de maillot.
— Vous pratiquez le bronzage intégral ?
— Le naturisme précisément, et donc tout le corps profite du soleil. Hélas, ça disparaît vite…
— Vous devez être l’attraction de la plage !
— Ha ha ! Il n’y a pas de plage où je vais. J’ai trouvé un petit endroit perdu au fond de la campagne berrichonne où l’on peut vivre un mois à la fois nue et tranquille. C’est joli, c’est calme, c’est reposant et c’est discret.
Je parcours ce chef-d’œuvre de mes doigts et de mes lèvres jusqu’aux siennes, les verticales. Son mont de Vénus est extraordinairement proéminent, coiffé par une petite touffe soigneusement taillée en V, genre « suivez la flèche ». Et la flèche indique un fin sillon aux bords humides séparant deux grandes lèvres très épaisses et très dilatées. Une vraie paire de fesses en miniature. Elles méritent aussi un baiser profond qui aussitôt ouvre grand ses cuisses charnues. Il faut bien cela pour atteindre le fond du sillon et dégager les petites lèvres, papillon fripé que je déploie délicatement. Étonnant, une si grosse vulve pour une si petite chatte. Car l’ouverture est courte et étroite, juste l’opposé de ce que je m’attendais à trouver. Peu importe ses dimensions, son activité est en revanche intense et la source abondante. Le fumet est ...
... capiteux, le goût acidulé et la production généreuse. Je me régale, débusque avec difficulté le petit bouton bien protégé par ces bourrelets de chair tendre, mais je l’ai à peine gratifié de quelques coups de langue que sa propriétaire supplie d’une voix rauque :
— Viens, prends-moi, mets ta grosse queue dans ma petite chatte, vite, j’t’en supplie, viiiite !
Ah bon, elle s’exprime comme une poissonnière, la directrice, au lit… J’obéis, il faut toujours écouter sa poissonnière. Pour une chatte étroite, c’est une chatte étroite, mais tellement humide qu’elle vous aspire le gland comme une pompe à vide, ou avide c’est selon. Je comprends rapidement que si elle est aussi étroite, c’est parce qu’elle est extrêmement musclée. Cette bacchante serait fort capable de me faire éjaculer sans le moindre mouvement, juste avec les contractions invisibles de son vagin. Mais ce n’est pas son désir présent, elle réclame :
— Oh oui, défonce-moi, bourre-moi, explose-moi la chatte ! Vas-y, bordel, vas-y…
Ça ne s’améliore pas question langage. Tellement loin de la terreur de nos bureaux que j’ai du mal à en revenir et à faire le lien. Pas possible, elle m’a envoyé sa sœur jumelle ! J’œuvre à son plaisir avec enthousiasme, me laisse basculer pour qu’elle prenne le dessus, et quand elle commence à râler comme une lionne en chaleur en écrasant ses seins sur ma poitrine, je l’assaisonne de coups de bassin rapides et me permets l’intrusion d’un majeur humide dans sa rosette.
— Oh le cochon, ...