1. En v’là du cul… En v’là…


    Datte: 26/07/2025, Catégories: collection, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme init, délire, Humour aventure, sf, fantastiqu, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... passera lentement au… Comme votre minerai que vous appelez or. Mes yeux deviendront… Du mauve ou violet… J’aime beaucoup le petit point noir dans tes yeux. Je les envie tes yeux Juliette…
    — L’orange c’est ton iris. Tu n’as pas de pupilles… J’adore tes yeux, moi. Ils… Ton regard a quelque chose d’hypnotique Salma. C’est très troublant.
    — Je te remercie… aïek… Juliette. C’est, je crois, un… aïek… Compliment.
    — C’est ça oui.
    
    Aïek… Un clignement d’yeux pour moi. Pour Salma, il s’agit d’une effarante recherche dans ses bases de données. Une hésitation dans ses phrases, quand elle ne comprend pas, ou cherche à mieux cerner un propos. Et un certain embarras certainement. Une émotion peut-être. Une hésitation nerveuse. Et la belle Salma ne l’a pas encore analysée, cette étrange nervosité.
    
    — J’aurais aimé te connaître en été Salma… Une peau dorée doit être agréable à regarder.
    
    Rencontre du 57 534e type
    
    J’ai fini par lui dire que ses « Aïek » m’excitaient. Alors, Salma n’a plus proféré un son. Sauf d’adorables soupirs enchaînés et de délicats gémissements ténus. Ensuite… La belle Salma a crié.
    
    Les lèvres ne sont que de légers renflements bordant la bouche. Il faut être très proche, et très attentive, pour remarquer que ces lèvres sont plus claires que la peau.
    
    — Ne me mords pas…
    
    Salma a laissé filer un petit rire doux. Je ne l’avais jamais entendu rire. Ou alors il s’agit d’une démonstration que je ne cerne pas.
    
    — Tu as peur, Juliette G ?
    — Un peu oui. Un ...
    ... tout petit peu. Pas de tes morsures. J’ai un peu peur de toi. Comme tu as peur de moi…
    
    Une langue contre la mienne. Plus longue et plus charnue. Plus chaude et plus dure. Cette idée m’emporte vers une pensée plus éloignée qu’un simple baiser.
    
    — Des baisers… Encore, Juliette G…
    
    Mes mains et mes doigts ont exploré en détail mon charmant hologramme gris. Nuque et épaules, dos et buste, aucune parcelle de peau ne m’a échappée. Ma langue et ma bouche se sont régalées de Salma. J’ai goûté et dégusté ses pointes de seins, semblables à des éclats de silex. Mes mains ont caressé les grosses pommes fermes. C’est comme si le corps de ma Zoorienne n’était qu’un amas de muscles contractés. Salma n’est que dureté. Ferme et dense comme personne ne peut l’être.
    
    Le ventre dur se creuse sous mes lèvres et…
    
    — Aïek… Juliette… aïek… Tu ne dois pas… Aïek… Continuer…
    — Je te fais peur ? Je te perturbe… Je t’excite ? Je t’affole ? Dis-moi, Salma… Quelle serait pour toi la bonne formule à employer ?
    — … Aïiii… Jul… aïiiii…
    — Je t’affole… Tu m’affoles toi aussi…
    
    Brûlante et humide. Très proche de moi dans cet instant. Là encore, la délicate cicatrice est plus foncée que l’argenté du corps. Une brusque envie de sourire quand je remarque… Ou plutôt ne remarque pas de clitoris. Une Zoorienne serait plus facile à déchiffrer sur le plan sexuel pour nos malheureux bonhommes toujours en train de chercher les nôtres.
    
    Mes lèvres se gavent de Salma. Mes mains sont passées sur des fesses de ...