1. En v’là du cul… En v’là…


    Datte: 26/07/2025, Catégories: collection, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme init, délire, Humour aventure, sf, fantastiqu, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... pour moi et une autre pour Zob. Chacun la nôtre, quoi ! Une espèce de fiche technique personnalisée. Personnalité, tempérament, degré d’intelligence(nous sommes plus futés que les Aro’Kop), un brin d’historique sur la race, ses coutumes et mœurs diverses. Et bien sûr, une note signalétique plus technique. Une explication complète et très détaillée du physique de l’autre espèce. Un croquis en relief bien croquignolet. Et ce, sans oublier une carte routière, situant très précisément les zones érogènes de chacune des races. Puisque nous serons là pour nous vautrer dans la sexualité, c’est plutôt utile et je dirais même primordial. Alors je vous fais grâce de mes propres zones érogènes, qui, j’en suis intimement convaincue, ne vous intéressent en rien.
    
    Alors un Ara’Kop, c’est tout con à cerner. Zone érogène, c’est comme son œil. Unique ! Le pénis ! Simple et facile à suivre sur la carte Michelin. Sauf que… Le pénis de mon futur partenaire est comme sa langue. Bifide ! Ou va savoir le nom que l’on donne, à deux pénis superposés, l’un au-dessus de l’autre ? Biplace ou bi quelque chose, en tout cas. Du coup, étonnement de ma chère Salma, quand je lui demande si les femelles ont deux vagins ! D’abord, elle n’en sait rien, et ensuite, elle comprend que j’aime… Que mon personnage d’histoires érotiques aime tout autant les femelles de notre espèce que leurs mâles ! Surprise de mon hologramme. Regard orange curieux sur moi. Et pourquoi pas trois orifices ? Un anus, c’est plutôt ...
    ... important, ou à tout le moins utile non ? Là, Salma sait de quoi elle parle. Les pustules sur le bas du dos de Zob. Il évacue ses… Enfin, c’est par là que ça se passe.
    
    Pour en revenir aux pénis. C’est un peu comme le chewing-gum dont je parlais peu avant. Pas roses, ces organes sexuels, et dans les tons grisâtres. Mais malabars, c’est sûr. Ils pètent à la tronche ! Très malabars ces choses-là ! Le membre viril du dessus est moins costaud que son jumeau, situé plus bas. Moins balaise et beaucoup moins long. Ce petit constat m’interpelle d’abord, avant de me perturber un peu. Du coup, je n’ai pas pu dévisser mon regard de cette chose tendue et longue, dressée sous son voisin du dessus, tout aussi raide et dur. Vous me comprenez, vous, mesdames ? Évidemment. Ça fait frémir, non ? Et je vais être franche. J’en ai eu des frissons ! Ma petite rondelle s’est mise à palpiter et hop… Mon anus s’est contracté comme une huître sous du vinaigre. Du maous costaud, ce chibre D’Ara’Kop… ! Comme cette vieille pub pour des bonbons. Ah ! Quand je le disais. Des sucreries, ces gens-là !
    
    J’avoue avoir eu un peu honte, quand je me suis rendu compte que la belle Salma souriait, tout en m’observant. J’en étais restée à fixer cette belle… Cet organe sexuel, si nouveau pour moi. Ah, j’oubliais… Pas de testicules. Je me souviens avoir blagué sur le fait que les Ara’Kop n’avaient pas de couilles, et que chez nous on disait… Salma m’a regardé d’un air sévère et j’ai préféré fermer mon clapet.
    
    Et donc ...
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