Marie - Ange & Démon (19)
Datte: 31/07/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: FredM, Source: Xstory
Après le départ de Fred, je continuais à avoir des relations avec Roger. Des relations dominant/dominée de plus en plus suivies. Dans le même temps, au fur et à mesure que la date de mon accouchement approchait, je me détachais progressivement de Marc mon mari, prétextant fatigue et lourdeurs.
Mon conjoint étant hors course, mes besoins sexuels devenaient de plus en plus impérieux pour le plus grand plaisir de Momo et de Roger. Ce dernier était extrêmement vicieux et à ce stade de ma grossesse je dois dire que j’aimais ça. Parfois, je ne pouvais m’empêcher de repenser à tous ceux qui m’avaient soumise avant lui. Il y avait eu Georges, Fred, Abdou et maintenant Roger que je connaissais depuis longtemps et qui finalement s’avérait être le plus pervers de tous.
D’abord Georges, mon boucher.
Il avait été le premier de la longue série des vieux cochons qui m’avaient eue.
J’ai déjà raconté comment il m’avait prise la première fois. Il s’était bien rendu compte que j’avais apprécié le traitement qu’il m’avait fait subir, alors, les samedis suivants, ce pervers m’avait de nouveau baisée dans sa chambre froide.
J’arrivais toujours aux heures de pointe. Dès qu’il me voyait entrer dans son magasin, soigneusement maquillée et légèrement vêtue, il abandonnait immédiatement pour moi toutes ses clientes. Des clientes, qui, agacées par l’attente, ne cachaient pas leur mécontentement, certaines, du reste, n’hésitant pas à me faire des remarques désobligeantes.
Le scénario ...
... était toujours plus ou moins le même. En un clin d’œil, nous disparaissions par la porte réservée au personnel. C’était rapide. Commerce oblige. Mais, très intense.
Il me donnait un bon coup, puis, après un bref intermède bien trash dans l’arrière-boutique où il me faisait partager sa passion pour les abats, je passais directement à la caisse.
Là, invariablement il ouvrait son tiroir-caisse pour y glisser ma petite culotte confisquée quelques minutes plus tôt, faisait mine d’encaisser, puis il annonçait d’une voix forte, de manière à ce que tout le monde entende, qu’il m’avait donné son meilleur morceau du cochon ou bien encore que j’allais aimer sa langue.
Ses bigotes de clientes pouvaient bien se douter qu’il se passait quelque chose entre nous.
Elles étaient bien loin d’imaginer de quelle manière, cette belle jeune femme bien classe avait été mise à contribution par leur cher boucher.
Il avait effectivement une manière bien à lui de me faire partager son étrange dévotion pour les bas morceaux.
Dans le premier cas, celui du « meilleur morceau du cochon », après m’avoir brutalement sodomisée, puis mangé le cul dans la réserve, Roger m’avait enfoncé une véritable queue-de-cochon dans le derrière.
Et c’est ainsi qu’il me fallait maintenant terminer mes courses : cul nul avec une authentique queue-de-cochon dans le cul.
Dans le deuxième cas, celui de la « langue de veau », après m’avoir bien bouffé la chatte, me léchant du trou au bouton, ce salaud de ...