1. Une ingénue prise au piège II


    Datte: 25/07/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Ero-gène, Source: Hds

    ... gland. Ce n’était visiblement pas la première fois qu’elle suçait. Bientôt mon engin fut lubrifié par sa salive. Sa tête allait et venait docilement pour satisfaire mon plaisir.
    
    - Ah, ouais continue ! Tu pompes bien !
    
    Elle sembla apprécier mon compliment car elle redoubla d’efforts. Ses mouvements de tête s’accélérèrent et elle allait plus loin à chaque fois. Sa langue se fit plus sensuelle dans sa bouche. J’appréciais son dévolu mais avais d’autre plan pour sa bouche. Je me retirai donc de ses lèvres. Elle se les lécha par réflexe puis les ferma, honteuse de son geste.
    
    - Tu as l’air de bien aimer ma queue, n’est-ce pas ?
    
    Elle me foudroya du regard et ne répondit pas.
    
    Je fis glisser un doigt sur ses lèvres puis descendis le long de son cou.
    
    - J’ai bien envie d’explorer un peu plus ton corps.
    
    La jeune femme comprit et pour la première fois depuis qu’elle était nue, elle parla :- Si vous jouissez, vous me laissez partir ?
    
    Je pris sa joue dans ma main et passai mon pouce sur ses lèvres, jouant à les déformer.
    
    - Je te le promets.
    
    Elle voulut reprendre ma queue mais je l’en empêchai.
    
    - Mais ce sera à ma manière…Elle me défia à nouveau du regard avant de se résigner. Je la pris alors par les aisselles et la tirai légèrement en arrière. Le dos toujours sur la table, elle avait maintenant la tête dans le vide. Je me plaçai de part et d’autre. Elle ouvrait déjà la bouche pour accueillir ma bite. Chose que je fis sans tarder. Mais au lieu de me ...
    ... contenter de sa bouche, mon gland alla rencontrer sa glotte. Elle eut un relan et posa ses mains sur mon torse pour me repousser. Je saisis ses poignets que j’emprisonnai d’une seule main.
    
    Alors que j’allais et venais, j’habituais sa glote à se faire titiller par mon membre viril. Ma salope salivait beaucoup d’avoir un si gros engin en bouche et sa bave coulait sur ses joues rougies. Bientôt, mon gland eut raison de sa résistance et je pus à loisir pénétrer sa gorge.
    
    Des larmes perlaient de ses yeux et venaient couler le long de ses tempes, emportant un peu de son maquillage. Ses cheveux lâches pendaient vers le sol, ondulant au rythme de mes coups de rein.
    
    Ma queue envahissait sa gorge à chaque passage dans un bruit guttural et rauque que j’affectionnais particulièrement. Je voyais mon chibre déformer la peau tendu de son cou. Je posai alors ma main pour sentir ma virilité souiller les profondeurs de la bouche de ma salope du moment.
    
    Je lui baisai ainsi la gorge pendant plusieurs minutes, ne la laissant respirer que très rarement. Mes couilles frappant son nez. Au bout d’un moment je lui lâchai les mains, sentant qu’elle se laissait totalement faire, soumise au coups puissants de ma verge.
    
    Je me retirai alors, dur comme jamais. Elle reprit sa respiration une énième fois, pensant que je reviendrai à la charge. Mais je restai là, à contempler son corps offert à ma perversité sans bornes. Elle se redressa sur la table et s’y assit.
    
    Rougie par la honte et le traitement ...