La petite chienne de Maîtresse P. 10
Datte: 24/07/2025,
Catégories:
Transexuels
Auteur: byGinaputana, Source: Literotica
Durant les 10 jours qui suivirent, Maîtresse respecta à la lettre les directives de son ami pierceur, pendant que je soignais et désinfectai soigneusement les plaies. Après les 10 jours, autant les trous dans mes seins que celui du nombril étaient partiellement cicatrisés, mais je devais toujours faire attention. Par contre la cicatrisation du frenulum prenait plus de temps. Maîtresse ne tenait malgré tout plus en place et après les 10 jours fit comme le pierceur lui avait dit, protéger la cicatrice avec une compresse humide et mettre une capote. Le fait de bander restait toujours douloureux et déchirait parfois un peu la cicatrice, la faisant saigner et ralentissant la cicatrisation.
-Tu vas devoir maintenant supporter, car je ne tiens plus en place, me dit-elle à la fin des 10 jours. Ça fait maintenant 10 jours que j'attends de t'avoir à nouveau en moi, bien chaud et vivant, pas ces pis-aller en plastique. Je n'en peux plus d'attendre. Déjà que je vais devoir te prendre avec une capote. Ma fois tu dois savoir que le plaisir de ta Maîtresse et propriétaire passera toujours en premier. C'est ainsi et tu l'as accepté.
-Oui Maîtresse, je sais, mais j'ai toujours très mal et ça m'empêche parfois de bander aussi bien que vous le méritez.
-Pas grave, on doublera la dose de cialis, ça fera l'affaire, le temps nécessaire. Ce médicament est fait pour ça. Allez approche.
Maîtresse me considérait déjà comme sa chose, qui ne devait être là que pour lui être utile, sans ...
... beaucoup se préoccuper de mes états d'âme. Cela me procurait un sentiment mitigé qu'il me fallait dénouer. D'un côté un reste de fierté masculine qui me faisait me dire qu'on ne pouvait me traiter ainsi, que j'étais quelqu'un, que j'avais quand même un peu de dignité ; d'un autre côté une excitation masochiste tellement intense et viscérale, qui me prenait aux tripes et me faisait découvrir des ressentis que je ne me connaissais pas, cette attirance pour Maîtresse, pour lui obéir, pour me sentir sa petite chose, pour lui appartenir comme son petit toutou, dépendre totalement d'elle et de ses caprices, de ses envies, qui peu à peu prenaient le pas sur mes anciennes certitudes. Et Maîtresse non seulement le comprenait, mais oeuvrait en coulisse pour me révéler mes fantasmes trop longtemps refoulés et m'en rendre prisonnier. Il ne me fallu pas longtemps pourtant, sans doute aidé encore par mon caractère indolent, pour succomber aux sirènes du sexe soumis plutôt qu'aux restes de dignité masculine qui se dissipaient peu à peu de ma tête.
Elle retira la barrette en acier maintenant le trou ouvert dans le frenulum, qui aurait empêché tout rapport sexuel, elle enroba la plaie avec une compresse désinfectée, puis me caressa ma bite pour me durcir un maximum (ce qui ne pris pas trop de temps). Elle déroula ensuite une capote par dessus.
-Allez, viens recommencer à baiser ta Maîtresse comme il se doit. Ça fait bien trop longtemps que j'attends de ressentir ta belle bite m'envoyer au ...