Découverte du plaisir avec ma mère (4)
Datte: 31/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: michelxl, Source: Xstory
... mise à genoux et j’ai pompé sa bite, je l’ai sucé, telle une vorace, avec envie, je te dis une salope je suis … Au bout d’un moment il me releva, puis me prit par les aisselles m’assoit sur un secrétaire, releva ma robe et déchira ma culotte… prit sa bite et me l’enfonça d’un coup dans la chatte, comme je mouillais, telle la chienne en chaleur devenue, cela lui facilita la tâche…Encore à cet instant j’aurai pu dire NON ! mais j’ai dit OUI ! baise-moi, oui prends-moi fort… ce qu’il fit sans hésiter et il m’a traité de pute, de salope, de chienne, bref tout, j’ai eu droit à tout ... me suis-je senti insultée, non ! pas du tout, plus il déclamait ses insanités sur ma personne plus j’étais excitée. Il me lima intensément puis quand il senti à mes gémissements que j’allais jouir, il se retira… me laissa sur mon envie, mon plaisir, le vide en ma chatte je sentis… il me prit les cheveux, les tira pour emmener ma bouche sur sa queue, me voilà de nouveau à genoux le pompant avidement avec délices… « Tiens ! pute, avale salope » dit-il lorsqu’il jouissait dans ma bouche… et j’ai avalé, comme avec toi, jusqu’à la dernière goutte, puis il me laissa là et s’en alla sans un mot.
Un silence s’établit une fois qu’Aurélie termina son récit.
Maman cessa de sangloter, elle releva un peu sa tête et son regard pour croiser le mien, son chef toujours sur mon épaule.
— Tu ne dis rien, je te dégoute, c’est normal…une grosse salope comme moi…
— Mais non ! tu ne me dégoutes pas, ni tu ...
... es une grande salope à mes yeux. Tu as eu une pulsion. Pulsion à laquelle tu n’as pas résisté, grisée par les cocktails sans doute, puis cela devait, sans doute, être un de tes vieux fantasmes, comme tu deviens femme libérée depuis notre union, parce qu’en confiance avec moi. Tu as vécu cela avec plaisir, sans endiguer ton désir de vivre l’instant. Puis faute avouée faute pardonnée, mon amour.
— C’est bien dit ! je te reconnais là, mon amour, tu es la gentillesse même. N’empêche que je me sens sale, honteuse de moi par rapport à moi, mais surtout à toi, tu ne méritais pas cette trahison, tu m’aimes, tu me combles sexuellement comme jamais je ne le fus et la première bite qui bande sur moi je me conduis de façon inqualifiable.
— Maman cesse de te tourmenter, je t’aime, mon amour pour toi n’a pas varié d’un millimètre à cause de cette péripétie. Cela ne pourra qu’intensifier notre sentiment commun et remplir notre journal des souvenirs de notre amour et notre union. Notre amour est au-dessus de ces passades. Voilà ce que j’en pense…
Les yeux dans les yeux, je me penchais et donnais à Aurélie un baiser d’amour qui n’en finissait pas…Elle me serra la nuque avec force et me rendis mon baiser…
— Mon bébé, tu es merveilleux, tu as toujours les gestes, les actes, les paroles pour me rendre sereine, me sentir aimée, je t’aime à la folie mon trésor.
— Moi de même, Aurélie je te remercie de me démontrer, tous les jours, que nous vivons une idylle extraordinaire.
Nous ...